Autres articles
-
L'Obélisque de Buenos Aires doté d'un ascenseur
-
Les 10% les plus riches responsables de deux tiers du réchauffement climatique
-
L'iboga, plante sacrée au Gabon et remède ancestral convoité
-
A la frontière indo-pakistanaise, la bataille du chapardage des pigeons
-
Découverte d’une molécule qui désarme les bactéries
L'inarrêtable Jose Mourinho a avoué samedi s'être une fois caché dans un panier à linge pour contourner une suspension et parler à ses joueurs avant un quart de finale de Ligue des champions de son club, Chelsea, face au Bayern Munich en 2005.
"Je suis allé dans le vestiaire en journée et j'y suis resté de midi jusqu'à sept heures", a raconté l'ex-entraîneur de Manchester United au micro de BeIN Sports, expliquant vouloir absolument être présent dans le vestiaire pour faire une causerie à ses joueurs avant ce choc européen.
"J'y suis allé et personne ne m'a vu. Le problème, c'était pour m'en aller après", se remémore le coach portugais de 55 ans. "Alors, l'intendant m'a mis dans le panier à linge et il l'a entrouvert pour que je puisse respirer", détaille-t-il.
"Mais quand il l'a sorti du vestiaire, les officiels de l'UEFA le suivaient et voulaient absolument me trouver, conte +Mou+. Il a donc fermé le panier et je ne pouvais plus respirer."
"Quand il l'a rouvert, j'étais en train d'étouffer", assure le décidément +Special One+.
"Je suis allé dans le vestiaire en journée et j'y suis resté de midi jusqu'à sept heures", a raconté l'ex-entraîneur de Manchester United au micro de BeIN Sports, expliquant vouloir absolument être présent dans le vestiaire pour faire une causerie à ses joueurs avant ce choc européen.
"J'y suis allé et personne ne m'a vu. Le problème, c'était pour m'en aller après", se remémore le coach portugais de 55 ans. "Alors, l'intendant m'a mis dans le panier à linge et il l'a entrouvert pour que je puisse respirer", détaille-t-il.
"Mais quand il l'a sorti du vestiaire, les officiels de l'UEFA le suivaient et voulaient absolument me trouver, conte +Mou+. Il a donc fermé le panier et je ne pouvais plus respirer."
"Quand il l'a rouvert, j'étais en train d'étouffer", assure le décidément +Special One+.