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Un hôpital de Graz (sud de l'Autriche) a été jugé responsable d'un échange de bébés à la naissance, il y a 26 ans, et condamné à payer des dommages et intérêts à la famille plaignante malgré une vaine quête de l'autre enfant avec laquelle la méprise a pu avoir lieu.
La justice a indiqué lundi avoir accordé 30.000 euros de dommage et intérêts à chacun des deux parents et à la jeune fille concernée, qui avaient lancé une procédure au civil en 2015.
La jeune fille avait découvert lors d'une prise de sang en 2014 que son groupe sanguin ne correspondait pas à celui de ses documents de naissance originaux. Des tests médicaux et ADN avaient confirmé qu'elle n'était pas la fille génétique de la mère qui l'a élevée.
La clinique universitaire de Graz (sud de l'Autriche), où avait accouché la mère, avait donc lancé un appel aux femmes ayant accouché entre le 15 octobre et le 20 novembre 1990, afin qu'elles se soumettent à un test ADN, estimant qu'environ 200 petites filles sont nées durant la période concernée.
Mais les tests pratiqués n'ont pas permis de découvrir la mère de l'enfant.
Pour autant, la justice a considéré que l'échange n'avait pu avoir lieu que dans les premières heures de vie du nourrisson, ce que conteste l'établissement.
Le dernier cas retentissant de ces bévues rarissimes est, en France, celui de deux familles dont les filles ont été interverties alors qu'elles se trouvaient dans la même couveuse d'une clinique de Cannes (sud) en 1994. La justice leur a accordé en 2015 près de 2 millions d'euros en réparation du préjudice subi.
La justice a indiqué lundi avoir accordé 30.000 euros de dommage et intérêts à chacun des deux parents et à la jeune fille concernée, qui avaient lancé une procédure au civil en 2015.
La jeune fille avait découvert lors d'une prise de sang en 2014 que son groupe sanguin ne correspondait pas à celui de ses documents de naissance originaux. Des tests médicaux et ADN avaient confirmé qu'elle n'était pas la fille génétique de la mère qui l'a élevée.
La clinique universitaire de Graz (sud de l'Autriche), où avait accouché la mère, avait donc lancé un appel aux femmes ayant accouché entre le 15 octobre et le 20 novembre 1990, afin qu'elles se soumettent à un test ADN, estimant qu'environ 200 petites filles sont nées durant la période concernée.
Mais les tests pratiqués n'ont pas permis de découvrir la mère de l'enfant.
Pour autant, la justice a considéré que l'échange n'avait pu avoir lieu que dans les premières heures de vie du nourrisson, ce que conteste l'établissement.
Le dernier cas retentissant de ces bévues rarissimes est, en France, celui de deux familles dont les filles ont été interverties alors qu'elles se trouvaient dans la même couveuse d'une clinique de Cannes (sud) en 1994. La justice leur a accordé en 2015 près de 2 millions d'euros en réparation du préjudice subi.











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