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On a tous nos petites angoisses. Pourtant, une étude réalisée en 2012 par l’American Psychological Association révèle que près de 11% de la population mondiale souffre d’au moins une des centaines de phobies répertoriées par la médecine. Découvrez les plus insolites :
– La dysmorphophobie : ou la phobie d’avoir un physique bizarre, difforme ou moche. En dépit des apparences, cette peur est somme toute peu répandue, et peut mener, à terme, à un important manque de confiance en soi.
– L’émétophobie : la peur de vomir est la septième phobie la plus répandue au monde. Un émétophobe souffre d’une angoisse irrationnelle à l’idée de régurgiter son repas et se trouvera également dans un état de stress avancé face au vomi d’une autre personne.
– La logophobie : impossible de terminer un livre si vous êtes atteint de cette angoisse. La logophobie correspond en effet à la peur des mots, et les personnes atteintes de ce mal peuvent sursauter à la vue du moindre caractère manuscrit.
– L’arachibutyrophobie : une dénomination complexe pour une peur des plus farfelues, celle d’avoir du beurre de cacahuète collé au palais. Peu connue en Europe, elle est, a contrario, l’un des principaux fonds de commerce des psychologues outre-Atlantique.
– L’halitophobie : une angoisse essentiellement liée au monde moderne et à ses normes d’hygiène personnelle exigeantes. En effet, un halitophobe a peur d’avoir mauvaise haleine au quotidien, et en toutes situations.
– La phobophobie : la peur d’avoir peur. Si vous êtes atteint de cette pathologie, la seule solution est de relativiser autant que possible les dangers de la vie. Ou d’arrêter de respirer.
– La ryphophobie : les personnes qui ont peur de déféquer souffrent de ryphophobie. Un mal problématique, puisque nous sommes tous contraints d’aller au petit coin, du moins de temps en temps.
– La kyphophobie : une phobie qui vous empêchera de ramasser un objet tombé au sol, puisqu’elle correspond à l’angoisse de devoir se baisser. Elle serait, paraît-il, très répandue chez les anciens détenus.
– La paraskevidékatriaphobie : un mot barbare pour une peur qui relève plus de la superstition : celle des vendredi 13. D’après les analystes, cette phobie coûterait chaque année des millions à l’économie mondiale, en raison des changements de projets de voyages, des reports d’achats ou des absentéismes à l’école ou au travail qu’elle provoque.
– L’éleuthérophobie : La peur d’être libre. Un éleuthérophobe se sentira mal dès que plusieurs choix s’offriront à lui, et préférera remettre sa vie entre les mains d’un tiers.
– La dysmorphophobie : ou la phobie d’avoir un physique bizarre, difforme ou moche. En dépit des apparences, cette peur est somme toute peu répandue, et peut mener, à terme, à un important manque de confiance en soi.
– L’émétophobie : la peur de vomir est la septième phobie la plus répandue au monde. Un émétophobe souffre d’une angoisse irrationnelle à l’idée de régurgiter son repas et se trouvera également dans un état de stress avancé face au vomi d’une autre personne.
– La logophobie : impossible de terminer un livre si vous êtes atteint de cette angoisse. La logophobie correspond en effet à la peur des mots, et les personnes atteintes de ce mal peuvent sursauter à la vue du moindre caractère manuscrit.
– L’arachibutyrophobie : une dénomination complexe pour une peur des plus farfelues, celle d’avoir du beurre de cacahuète collé au palais. Peu connue en Europe, elle est, a contrario, l’un des principaux fonds de commerce des psychologues outre-Atlantique.
– L’halitophobie : une angoisse essentiellement liée au monde moderne et à ses normes d’hygiène personnelle exigeantes. En effet, un halitophobe a peur d’avoir mauvaise haleine au quotidien, et en toutes situations.
– La phobophobie : la peur d’avoir peur. Si vous êtes atteint de cette pathologie, la seule solution est de relativiser autant que possible les dangers de la vie. Ou d’arrêter de respirer.
– La ryphophobie : les personnes qui ont peur de déféquer souffrent de ryphophobie. Un mal problématique, puisque nous sommes tous contraints d’aller au petit coin, du moins de temps en temps.
– La kyphophobie : une phobie qui vous empêchera de ramasser un objet tombé au sol, puisqu’elle correspond à l’angoisse de devoir se baisser. Elle serait, paraît-il, très répandue chez les anciens détenus.
– La paraskevidékatriaphobie : un mot barbare pour une peur qui relève plus de la superstition : celle des vendredi 13. D’après les analystes, cette phobie coûterait chaque année des millions à l’économie mondiale, en raison des changements de projets de voyages, des reports d’achats ou des absentéismes à l’école ou au travail qu’elle provoque.
– L’éleuthérophobie : La peur d’être libre. Un éleuthérophobe se sentira mal dès que plusieurs choix s’offriront à lui, et préférera remettre sa vie entre les mains d’un tiers.