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Ces élèves de la caravane de la réconciliation observent actuellement un sit-in devant le siège de la caïdat d’Imilchil, réclamant tout simplement leur droit à une bourse scolaire. Qui a le droit d’en bénéficier plus qu’elles ? Bénéficiaires du centre d’accueil de la fille rurale financé par la Commission de soutien de la scolarisation de la fille rurale (CSF) et supervisé par le Réseau des associations de développement des oasis du Sud-est (RADOSE), ces filles se sont retrouvées cette année sans bourse, bien que le ministère via la délégation s’engage à mettre à la disposition de ces filles une bourse une fois arrivées au stade de l’enseignement qualifiant (lycée). Sachant qu’elles sont toutes issues d’un milieu défavorable et d’une zone difficile d’accès, ces filles sont menacées d’abandon, leurs parents ne pouvant subvenir à leurs besoins en la matière. Des contacts ont eu lieu avec les responsables, notamment au niveau de la délégation et de l’académie de Meknès-Tafilalet, mais en vain. Les filles ne veulent donc pas céder. Le sit-in continue pour alerter le ministre en personne.