Autres articles
-
La pièce théâtrale "Screen" remporte le Grand Prix du 18e Festival international du théâtre universitaire
-
Ouverture de la 18e édition du Festival international du théâtre universitaire de Tanger
-
Théâtre Riad Sultan à Tanger : Programmation captivante pour le mois de novembre
-
Lancement à El Jadida de la 12ᵉ édition du Festival Mazighen du théâtre professionnel
La pièce de théâtre "Houm" de la réalisatrice marocaine Asmaa Houri (troupe Anfas) participera à la compétition officielle du 26e Festival international des Journées théâtrales de Carthage, prévu du 22 au 29 novembre à Tunis.
Outre "Houm", la liste des œuvres retenues, dévoilée par le Comité directeur du festival lors d'une conférence de presse jeudi, comprend des pièces de théâtre de la Tunisie, de l'Afrique du Sud, de la Côte d'Ivoire, de l'Irak, du Liban, de l'Algérie, de la Palestine, de la Jordanie, de l’Egypte et des Emirats Arabes Unis.
Le festival décernera les prix du "Tanit d'Or", du "Tanit d'Argent" et du "Tanit de Bronze" ainsi que les prix du meilleur scénario, de la meilleure scénographie, de la meilleure interprétation féminine et de la meilleure interprétation masculine.
Le théâtre marocain sera aussi représenté à cette 26ème édition par l'artiste Latifa Ahrar à laquelle le festival rendra hommage. Mme Ahrar participera, par ailleurs, à un forum théâtral international qui sera organisé dans le cadre du festival sur le thème "L'acteur de théâtre: le temps et les œuvres" et dont l'une des tables rondes sera modérée par le chercheur marocain Said Krimi. "Le Roi Lear", l'une des plus célèbres tragédies de Shakespeare, magistralement interprétée par l'acteur égyptien Yahia Al Fakharany et réalisée par Chadi Srour, sera présentée à l'ouverture de cet événement.
Un hommage appuyé sera d'ailleurs rendu à Al Fakharany en reconnaissance de sa brillante carrière et de son apport au théâtre arabe. La précédente édition du Festival international des Journées théâtrales de Carthage avait décerné les prix du "Tanit de Bronze" et de la meilleure scénographie à la pièce de théâtre marocaine "La Victoria".
Outre "Houm", la liste des œuvres retenues, dévoilée par le Comité directeur du festival lors d'une conférence de presse jeudi, comprend des pièces de théâtre de la Tunisie, de l'Afrique du Sud, de la Côte d'Ivoire, de l'Irak, du Liban, de l'Algérie, de la Palestine, de la Jordanie, de l’Egypte et des Emirats Arabes Unis.
Le festival décernera les prix du "Tanit d'Or", du "Tanit d'Argent" et du "Tanit de Bronze" ainsi que les prix du meilleur scénario, de la meilleure scénographie, de la meilleure interprétation féminine et de la meilleure interprétation masculine.
Le théâtre marocain sera aussi représenté à cette 26ème édition par l'artiste Latifa Ahrar à laquelle le festival rendra hommage. Mme Ahrar participera, par ailleurs, à un forum théâtral international qui sera organisé dans le cadre du festival sur le thème "L'acteur de théâtre: le temps et les œuvres" et dont l'une des tables rondes sera modérée par le chercheur marocain Said Krimi. "Le Roi Lear", l'une des plus célèbres tragédies de Shakespeare, magistralement interprétée par l'acteur égyptien Yahia Al Fakharany et réalisée par Chadi Srour, sera présentée à l'ouverture de cet événement.
Un hommage appuyé sera d'ailleurs rendu à Al Fakharany en reconnaissance de sa brillante carrière et de son apport au théâtre arabe. La précédente édition du Festival international des Journées théâtrales de Carthage avait décerné les prix du "Tanit de Bronze" et de la meilleure scénographie à la pièce de théâtre marocaine "La Victoria".
Bouillon de culture
Exposition
Le vernissage de l’exposition "Entre deux continents" de l’artiste-peintre Aymane Bufrakech a eu lieu, jeudi à l'espace "Rivages" au siège de la Fondation Hassan II pour les Marocains résidant à l’étranger, en présence de nombreux passionnés d’art et d’un public curieux de découvrir l’univers créatif de ce jeune talent.
Dans sa production artistique, l'artiste ose une exploration libre qui mène à une diversité créative. Il s’engage dans un travail assidu autour de la mémoire et des émotions, guidé par un attachement indéfectible à son pays d’origine, le Maroc, où il puise les formes et les couleurs.
A cette occasion, l’artiste, originaire de Tanger, a indiqué que cette exposition organisée par la Fondation jusqu'au 12 décembre est le fruit de plusieurs années de travail et de recherche, précisant que son objectif est de refléter sa propre expérience entre les deux rives de la Méditerranée.
Les œuvres exposées à Rabat évoquent la vie quotidienne dans des villes marocaines et espagnoles ainsi que diverses thématiques sociales, a-t-il relevé.
L’artiste Houda Benjelloune a souligné, de son côté, que l’expérience migratoire d’Aymane Bufrakech transparaît clairement dans ses œuvres, à travers l’expression de ses émotions et de sa spontanéité, ajoutant que les productions du jeune talent se démarquent par leur authenticité et leur sensibilité.
Le vernissage de l’exposition "Entre deux continents" de l’artiste-peintre Aymane Bufrakech a eu lieu, jeudi à l'espace "Rivages" au siège de la Fondation Hassan II pour les Marocains résidant à l’étranger, en présence de nombreux passionnés d’art et d’un public curieux de découvrir l’univers créatif de ce jeune talent.
Dans sa production artistique, l'artiste ose une exploration libre qui mène à une diversité créative. Il s’engage dans un travail assidu autour de la mémoire et des émotions, guidé par un attachement indéfectible à son pays d’origine, le Maroc, où il puise les formes et les couleurs.
A cette occasion, l’artiste, originaire de Tanger, a indiqué que cette exposition organisée par la Fondation jusqu'au 12 décembre est le fruit de plusieurs années de travail et de recherche, précisant que son objectif est de refléter sa propre expérience entre les deux rives de la Méditerranée.
Les œuvres exposées à Rabat évoquent la vie quotidienne dans des villes marocaines et espagnoles ainsi que diverses thématiques sociales, a-t-il relevé.
L’artiste Houda Benjelloune a souligné, de son côté, que l’expérience migratoire d’Aymane Bufrakech transparaît clairement dans ses œuvres, à travers l’expression de ses émotions et de sa spontanéité, ajoutant que les productions du jeune talent se démarquent par leur authenticité et leur sensibilité.









La pièce théâtrale "Screen" remporte le Grand Prix du 18e Festival international du théâtre universitaire
