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Ouverture de la 18e édition du Festival international du théâtre universitaire de Tanger
Le 24è Festival international de théâtre jeune public s'est ouvert, mardi soir à Taza, avec la participation de troupes marocaines et étrangères.
Le coup d'envoi de cette manifestation culturelle, organisée par le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication-secteur Culture-, a été marqué par l'organisation d’un carnaval haut en couleur auquel ont pris part de nombreux groupes folkloriques de différentes nationalités.
Le ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, Mohamed Mehdi Bensaid, a souligné, dans une allocution lue en son nom par le directeur provincial de la Culture, que cet événement annuel est devenu un rendez-vous incontournable pour les enfants de Taza, qui découvrent les expériences théâtrales les plus en vue aux niveaux national, arabe et international.
Il a souligné que le festival constitue un événement culturel international de référence, faisant part de la disposition du ministère à soutenir et développer cette manifestation, au vu du rôle joué par le théâtre pour enfants dans l'épanouissement artistique et l'intégration des jeunes sur le plan culturel.
M. Bensaid a relevé que cette édition, qui met à l'honneur des troupes théâtrales d'Égypte, de Tunisie, de Jordanie, d'Espagne, du Brésil, du Sénégal et de Chine, sert d’espace pour favoriser l'ouverture aux expériences internationales, renforcer les liens et stimuler l'activité économique et touristique locale.
Pour sa part, Jamal Kaddad, du Conseil provincial de Taza, a souligné que le théâtre pour enfants est un outil efficace pour développer l’imagination et les talents des jeunes, mettant l’accent sur la nécessité de promouvoir une culture théâtrale à travers la formation continue et l'organisation de tournées en faveur des enfants issus du milieu rural.
Selon les organisateurs, cette édition du festival, devenu l'un des événements nationaux majeurs pour les professionnels et les passionnés de théâtre, accueille des troupes de théâtre venues d'Europe, d'Amérique du Sud, d'Afrique et d'Asie.
Outre les représentations théâtrales et les débats autour des pièces présentées, des activités diverses seront organisées en parallèle. Des ateliers d'écriture, des masterclasses, des séances de dédicaces pour enfants et des échanges entre jeunes artistes et créateurs confirmés sont également prévues.
Le coup d'envoi de cette manifestation culturelle, organisée par le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication-secteur Culture-, a été marqué par l'organisation d’un carnaval haut en couleur auquel ont pris part de nombreux groupes folkloriques de différentes nationalités.
Le ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, Mohamed Mehdi Bensaid, a souligné, dans une allocution lue en son nom par le directeur provincial de la Culture, que cet événement annuel est devenu un rendez-vous incontournable pour les enfants de Taza, qui découvrent les expériences théâtrales les plus en vue aux niveaux national, arabe et international.
Il a souligné que le festival constitue un événement culturel international de référence, faisant part de la disposition du ministère à soutenir et développer cette manifestation, au vu du rôle joué par le théâtre pour enfants dans l'épanouissement artistique et l'intégration des jeunes sur le plan culturel.
M. Bensaid a relevé que cette édition, qui met à l'honneur des troupes théâtrales d'Égypte, de Tunisie, de Jordanie, d'Espagne, du Brésil, du Sénégal et de Chine, sert d’espace pour favoriser l'ouverture aux expériences internationales, renforcer les liens et stimuler l'activité économique et touristique locale.
Pour sa part, Jamal Kaddad, du Conseil provincial de Taza, a souligné que le théâtre pour enfants est un outil efficace pour développer l’imagination et les talents des jeunes, mettant l’accent sur la nécessité de promouvoir une culture théâtrale à travers la formation continue et l'organisation de tournées en faveur des enfants issus du milieu rural.
Selon les organisateurs, cette édition du festival, devenu l'un des événements nationaux majeurs pour les professionnels et les passionnés de théâtre, accueille des troupes de théâtre venues d'Europe, d'Amérique du Sud, d'Afrique et d'Asie.
Outre les représentations théâtrales et les débats autour des pièces présentées, des activités diverses seront organisées en parallèle. Des ateliers d'écriture, des masterclasses, des séances de dédicaces pour enfants et des échanges entre jeunes artistes et créateurs confirmés sont également prévues.
Bouillon de culture
Nasser Abu Srour
Le Prix de la littérature arabe, l'une des rares récompenses françaises distinguant la création littéraire arabe, a été décerné, mercredi, à l’auteur palestinien Nasser Abu Srour pour son roman "Je suis ma liberté" paru aux éditions Gallimard.
"Le jury du Prix, présidé par Alexandre Najjar, avocat, écrivain, Grand Prix de la Francophonie 2020, a récompensé, à l'unanimité, le livre "Je suis ma liberté", indique un communiqué de l'Institut du monde arabe (IMA).
"Le jury a été sensible aux qualités littéraires de ce récit personnel, introspectif et philosophique à travers lequel l'auteur explore sa condition de condamné pour rester vivant et aborde les questions d'identité, de résilience, de religion, de dignité, d'amour et de liberté, tout en entretenant la mémoire collective de son peuple", soutient la même source.
"La belle traduction de Nathalie Pujols restitue parfaitement l'écriture poétique de l'auteur et la puissance de son récit", ajoute-t-on.
"Je suis ma liberté" (traduit de l'arabe par Stéphanie Dujols) raconte l’histoire de Nasser, condamné à perpétuité et qui dit adieu au monde. Au fil des années, un lien particulier s’est noué entre ce Palestinien et le mur qui lui fait face : celui-ci s’anime, répond et change d’apparence selon que l’espoir ou le renoncement domine. Surtout, il lui inspire ce texte.
Depuis sa cellule, il raconte son histoire et celle de son peuple comme s’il les extirpait du mur, faisant surgir par ses mots le monde qu’il a quitté. Lorsque Nanna, une jeune avocate qui rend visite aux prisonniers, s’éprend de cette âme libre, le monologue du condamné devient dialogue ardent.
Le Prix de la littérature arabe, l'une des rares récompenses françaises distinguant la création littéraire arabe, a été décerné, mercredi, à l’auteur palestinien Nasser Abu Srour pour son roman "Je suis ma liberté" paru aux éditions Gallimard.
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Depuis sa cellule, il raconte son histoire et celle de son peuple comme s’il les extirpait du mur, faisant surgir par ses mots le monde qu’il a quitté. Lorsque Nanna, une jeune avocate qui rend visite aux prisonniers, s’éprend de cette âme libre, le monologue du condamné devient dialogue ardent.









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