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Le ratio de la dette intérieure a poursuivi son trend haussier en se situant à 44,7% du produit intérieur brut (PIB) en 2012 contre 41,0% en 2011, selon la direction du trésor et des finances extérieures (DTFE).
L’encours de cette dette s’est établi à 374,9 milliards de dirhams (MMDH) contre 328,7 MMDH à fin 2011, enregistrant ainsi une hausse de 46,3 MMDH ou 14,1%, explique la DTFE dans la note de conjoncture du mois de mars.
Il s’agit, par ailleurs, d’un financement intérieur qui s’est orienté vers les maturités à moyen et long termes, via notamment le marché des adjudications, qui constitue la principale source de financement interne du Trésor, indique la même source, précisant que les souscriptions se sont élevées à 120,3 MMDH contre 103,5 MMDH un an auparavant, marquant ainsi une hausse de 16,7 MMDH ou 16,2%. Cette élévation a concerné l’ensemble des compartiments, à savoir le court terme avec une hausse de 11,7%, le moyen terme avec 28,4% et 19% pour le long terme. Malgré la progression des souscriptions à court terme, leur part dans le total des souscriptions adjugées a baissé de 2,5 points en passant de 63,6% en 2011 à 61,1% en 2012. C’est ainsi que la structure des maturités à moyen et long termes s’est renforcée respectivement de 19,2% à 21,2% et de 17,2% à 17,7%, relève la DTFE.
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Il s’agit, par ailleurs, d’un financement intérieur qui s’est orienté vers les maturités à moyen et long termes, via notamment le marché des adjudications, qui constitue la principale source de financement interne du Trésor, indique la même source, précisant que les souscriptions se sont élevées à 120,3 MMDH contre 103,5 MMDH un an auparavant, marquant ainsi une hausse de 16,7 MMDH ou 16,2%. Cette élévation a concerné l’ensemble des compartiments, à savoir le court terme avec une hausse de 11,7%, le moyen terme avec 28,4% et 19% pour le long terme. Malgré la progression des souscriptions à court terme, leur part dans le total des souscriptions adjugées a baissé de 2,5 points en passant de 63,6% en 2011 à 61,1% en 2012. C’est ainsi que la structure des maturités à moyen et long termes s’est renforcée respectivement de 19,2% à 21,2% et de 17,2% à 17,7%, relève la DTFE.
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