
L’affaire pue le complot politique et d’entrée, des avocats en ont demandé la nullité en invoquant la mise sous écoutes administratives de certains des prévenus. Le tribunal examinera la requête avec le fond du dossier, à l'issue du procès.
La surveillance mise en place et les écoutes téléphoniques auraient, huit mois avant, précédé l'enquête préliminaire. D’aucuns pointent du doigt l’ex-président français Nicolas Sarkozy et François Fillon qui auraient ourdi l’affaire au regard de l’autorisation accordée par le Premier ministre.
Le procès qui, d’entrée de jeu, est entaché d’une irrégularité de la procédure est prévu pour durer au moins trois semaines au grand bonheur des médias et des nombreux journalistes accrédités.
Le ‘’gros dégueulasse’’, plus connu, notoriété devenue, pour son côté libertin que celui, social libéral où il excelle, pourrait à défaut du but recherché par ses détracteurs et paradoxalement stopper sa descente aux enfers en refaisant une santé à l’occasion.
Le fameux dicton censé faire tomber ce satané ciel sur les têtes n’est plus d’actualité. Aujourd’hui, la gauloiserie brûle ce qu’elle a adoré.