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En effet, le manque d’eau dans les dortoirs et les cuisines a entraîné ce à quoi il fallait s’attendre dans des cas pareils.
Sur les 130 enfants, treize ont été évacués sur l’hôpital régional pour cas de dysenterie, 5 autres sont atteints de gale dans des états avancés et contagieux, ce qui menace la vie des 130 enfants. Des cas de malnutrition ont également été soumis aux examens du staff médical de l’hôpital Belmehdi.
On apprend, cependant, que des instructions avaient été données pour que des pompes soient installées, en même temps que des compteurs d’eau permettant d’alimenter les locaux de la LMPE. Aussi louables qu’elles soient, ces initiatives n’ont été prises que bien après que les enfants ont été évacués au centre hospitalier régional pour traitement.
Une équipe de journalistes espagnols de la télévision canarienne, aurait été empêchée de rendre visite au centre où les enfants sont soumis à ce genre de sévices et de traitements inhumains dus aux humeurs de certains responsables régionaux.
La visite de ces journalistes aurait dévoilé à l’opinion publique nationale et internationale, les agissements irresponsables de certains qui ont à charge de gérer le quotidien des populations sans distinction d’âge et dont les enfants innocents font les frais.
Mais là où le bât blesse, c’est que le mauvais traitement des enfants ne respecte aucune fête même quand il s’agit de la fête des mères.