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«Le Festival du court métrage connaît depuis sa création un développement soutenu grâce à la qualité exceptionnelle des œuvres produites par les jeunes cinéastes marocains et a conquis une place très honorable parmi les festivals de cinéma au Maroc», rappellent les organisateurs qui précisent que l’édition 2016 devait être dédiée aux questions de l'environnement et des changements climatiques, en prélude à la COP22 qui aura lieu à Marrakech le mois prochain.
Pour ce qui est du Festival du film animalier et environnemental qui s'inscrit pleinement dans les questions de l'environnement, les organisateurs expliquent «qu’il ne bénéficie d'aucun soutien de quelque partie que ce soit, malgré l'importance et la grande qualité des films qui y ont été présentés au grand public marocain, durant plus de vingt ans et qui avaient reçu des Prix reconnus mondialement».
L’Association Ribat Al Fath appelle, dans ce sens, «les pouvoirs publics, notamment ceux en charge de la culture, de l'art et du cinéma à reconsidérer la stratégie qui encadre ce domaine vital de la vie culturelle marocaine et à combler les lacunes inacceptables qui entachent encore le domaine de la créativité artistique dans notre pays», conclut-on dans ledit communiqué.










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