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L’engagement
de Fatimatou Belkassem, tête
de liste féminine de l’USFP à Laâyoune dans la course
électorale est
dicté par
sa conviction quant aux possibilités
de changement
et de réforme.
Libé : Comment se déroule la campagne ?
Fatimatou Belkassem : Malgré nos faibles moyens et les entraves, la campagne se déroule dans de très bonnes conditions et une ambiance parfaite. Nous sommes très optimistes.
Vous avez parlé d’entraves. Pouvez-vous les décrire?
Les représentants de certains partis n’hésitent pas à bloquer les rues par lesquelles passent nos défilés. Ils vont même jusqu’à nous jeter des pierres. Ce sont des provocations irresponsables auxquelles nous ne voulons pas répliquer.
D’où proviennent les financements de votre campagne ?
Nos concurrents utilisent des moyens énormes et disposent de gros capitaux pour mener leur campagne. Nous avons des moyens très limités et essayons de convaincre notre électorat par des discours et un argumentaire solide, loin de toute surenchère financière.
Quelles sont, selon vous, vos chances de réussite ?
Notre électorat naturel était constitué pour la plupart des habitants des Mokhayams. Ces derniers ont, malheureusement été exclus, de manière peu orthodoxe, avec de la destruction des maisons où ils vivaient. Nous restons, cependant très optimistes au vu de l’accueil que nous recevons dans les différents quartiers de la ville.
Un dernier mot ?
Je voudrais remercier le camarade Hassan Derham pour son concours financier et moral. Je voudrais aussi le remercier pour les conseils précieux qu’il n’a cessé de nous prodiguer.
Je lance, enfin, un appel à toutes les militantes et à tous les militants, les invitant à venir nombreux nous soutenir par leur vote le 12 juin.
de Fatimatou Belkassem, tête
de liste féminine de l’USFP à Laâyoune dans la course
électorale est
dicté par
sa conviction quant aux possibilités
de changement
et de réforme.
Libé : Comment se déroule la campagne ?
Fatimatou Belkassem : Malgré nos faibles moyens et les entraves, la campagne se déroule dans de très bonnes conditions et une ambiance parfaite. Nous sommes très optimistes.
Vous avez parlé d’entraves. Pouvez-vous les décrire?
Les représentants de certains partis n’hésitent pas à bloquer les rues par lesquelles passent nos défilés. Ils vont même jusqu’à nous jeter des pierres. Ce sont des provocations irresponsables auxquelles nous ne voulons pas répliquer.
D’où proviennent les financements de votre campagne ?
Nos concurrents utilisent des moyens énormes et disposent de gros capitaux pour mener leur campagne. Nous avons des moyens très limités et essayons de convaincre notre électorat par des discours et un argumentaire solide, loin de toute surenchère financière.
Quelles sont, selon vous, vos chances de réussite ?
Notre électorat naturel était constitué pour la plupart des habitants des Mokhayams. Ces derniers ont, malheureusement été exclus, de manière peu orthodoxe, avec de la destruction des maisons où ils vivaient. Nous restons, cependant très optimistes au vu de l’accueil que nous recevons dans les différents quartiers de la ville.
Un dernier mot ?
Je voudrais remercier le camarade Hassan Derham pour son concours financier et moral. Je voudrais aussi le remercier pour les conseils précieux qu’il n’a cessé de nous prodiguer.
Je lance, enfin, un appel à toutes les militantes et à tous les militants, les invitant à venir nombreux nous soutenir par leur vote le 12 juin.
