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Les courts métrages marocains se caractérisent par une véritable force de créativité, fruit de riches expériences tant au niveau de la thématique qu'en matière de réalisation cinématographique, a indiqué, mardi à Tanger, le réalisateur marocain Faouzi Bensaïdi.
Intervenant lors d'un atelier sur le cinéma, organisé en marge de la 17ème édition du Festival du court métrage méditerranéen de Tanger, le réalisateur marocain a souligné que le court métrage marocain est une production cinématographique aussi développée en termes de créativité que les autres écoles internationales. Pour lui, les jeunes réalisateurs marocains trouvent dans le court métrage un moyen d'exprimer leurs interrogations et les problématiques qui les préoccupent et préoccupent la société.
A cet égard, M. Bensaïdi a appelé les jeunes intéressés par le cinéma et la réalisation à se consacrer davantage à ce genre de cinéma, non seulement comme une initiation et un tremplin pour le long métrage, mais aussi parce qu'il est devenu un moyen idéal pour exprimer des problématiques sociales, même si elles peuvent sembler parfois trop grandes pour être exprimées à travers une séquence de 12 minutes. Et d'ajouter que le succès dans ce domaine, en particulier chez les jeunes, "dépend de l’existence ou non d'une volonté et d'un réel désir de faire du cinéma et ensuite de l'étude et de la confrontation à d'autres écoles de cinéma".
Le cinéaste marocain a relevé que chaque artiste se développe et diversifie, au fur et à mesure, ses outils de travail et que l'acteur peut passer facilement à la réalisation en tirant le meilleur de ses expériences avec d'autres réalisateurs et en côtoyant d'autres écoles cinématographiques marocaines et étrangères, pour parvenir à traiter plusieurs questions selon sa propre appréhension.
Evoquant sa propre expérience cinématographique dans le court métrage, Faouzi Bensaïdi a souligné que le succès de son premier court métrage "La Falaise" lui avait servi de point de départ dans le monde du cinéma, tout en relevant que sa formation théâtrale et cinématographique avait contribué à lui ouvrir la voie de la réussite dans le monde du cinéma. "La Falaise" raconte l'histoire de Hakim et Said, deux frères qui passent leur journée à accomplir des petits boulots tels que blanchir des tombes et vendre des bouteilles dans leur quête de jours meilleurs.
Intervenant lors d'un atelier sur le cinéma, organisé en marge de la 17ème édition du Festival du court métrage méditerranéen de Tanger, le réalisateur marocain a souligné que le court métrage marocain est une production cinématographique aussi développée en termes de créativité que les autres écoles internationales. Pour lui, les jeunes réalisateurs marocains trouvent dans le court métrage un moyen d'exprimer leurs interrogations et les problématiques qui les préoccupent et préoccupent la société.
A cet égard, M. Bensaïdi a appelé les jeunes intéressés par le cinéma et la réalisation à se consacrer davantage à ce genre de cinéma, non seulement comme une initiation et un tremplin pour le long métrage, mais aussi parce qu'il est devenu un moyen idéal pour exprimer des problématiques sociales, même si elles peuvent sembler parfois trop grandes pour être exprimées à travers une séquence de 12 minutes. Et d'ajouter que le succès dans ce domaine, en particulier chez les jeunes, "dépend de l’existence ou non d'une volonté et d'un réel désir de faire du cinéma et ensuite de l'étude et de la confrontation à d'autres écoles de cinéma".
Le cinéaste marocain a relevé que chaque artiste se développe et diversifie, au fur et à mesure, ses outils de travail et que l'acteur peut passer facilement à la réalisation en tirant le meilleur de ses expériences avec d'autres réalisateurs et en côtoyant d'autres écoles cinématographiques marocaines et étrangères, pour parvenir à traiter plusieurs questions selon sa propre appréhension.
Evoquant sa propre expérience cinématographique dans le court métrage, Faouzi Bensaïdi a souligné que le succès de son premier court métrage "La Falaise" lui avait servi de point de départ dans le monde du cinéma, tout en relevant que sa formation théâtrale et cinématographique avait contribué à lui ouvrir la voie de la réussite dans le monde du cinéma. "La Falaise" raconte l'histoire de Hakim et Said, deux frères qui passent leur journée à accomplir des petits boulots tels que blanchir des tombes et vendre des bouteilles dans leur quête de jours meilleurs.