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La Villa des arts de Rabat accueille l’exposition « Souffle », un hommage à la calligraphie marocaine à travers divers supports, du 06 juillet jusqu’au 31 aout prochain.
Le vernissage de cette exposition, organisée par la Fondation ONA, aura lieu ce soir à partir de 19h à la Villa des arts de Rabat.
Le fonds manuscrit comme les pièces de monnaies constituent un patrimoine national dans lequel se manifestent notre identité culturelle et les spécificités de notre civilisation. L’importance de ce patrimoine réside dans sa valeur historique, scientifique, artistique et esthétique.
«La civilisation arabo-musulmane a fait de la graphie arabe un « art du trait»; le trait surmonte le sens où je veux l’incarcérer pour régner dans l’autonomie de sa forme «variations entre la verticale, l’horizontale, les points diacritiques et les boucles», écrit Ali Benmakhlouf, professeur de philosophie arabe et de philosophie de la logique, dans «C’est de l’art».
L’exposition «Souffle» révélera au visiteur le secret de cet art, dont les racines sont ancrées dans notre riche histoire et qui s’impose, aussi bien dans le monde arabe qu’à l’international, grâce à des artistes confirmés qui n’arrêtent pas d’étonner par un savoir-faire respectif particulier.
Il s’agit bien de Khalid Bayi, Ahmed Ben Ismaël, Mohamed Boustane, Noureddine Chater, Larbi Cherkaoui et Noureddine Daifallah.
Le vernissage de cette exposition, organisée par la Fondation ONA, aura lieu ce soir à partir de 19h à la Villa des arts de Rabat.
Le fonds manuscrit comme les pièces de monnaies constituent un patrimoine national dans lequel se manifestent notre identité culturelle et les spécificités de notre civilisation. L’importance de ce patrimoine réside dans sa valeur historique, scientifique, artistique et esthétique.
«La civilisation arabo-musulmane a fait de la graphie arabe un « art du trait»; le trait surmonte le sens où je veux l’incarcérer pour régner dans l’autonomie de sa forme «variations entre la verticale, l’horizontale, les points diacritiques et les boucles», écrit Ali Benmakhlouf, professeur de philosophie arabe et de philosophie de la logique, dans «C’est de l’art».
L’exposition «Souffle» révélera au visiteur le secret de cet art, dont les racines sont ancrées dans notre riche histoire et qui s’impose, aussi bien dans le monde arabe qu’à l’international, grâce à des artistes confirmés qui n’arrêtent pas d’étonner par un savoir-faire respectif particulier.
Il s’agit bien de Khalid Bayi, Ahmed Ben Ismaël, Mohamed Boustane, Noureddine Chater, Larbi Cherkaoui et Noureddine Daifallah.