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Le secrétariat provincial de l'USFP a réitéré son rejet catégorique de ces méthodes violentes et mafieuses consistant en des agressions, des menaces de liquidation physique ainsi que des actes de vandalisme. D'autre part, le parti a exhorté les autorités locales et les forces publiques à prendre les mesures nécessaires pour imposer la loi et assurer une atmosphère sereine pour le travail communal dans la région, tout en dénonçant l'état d'impunité dont jouissent encore les agresseurs, pourtant identifiés. Ces agissements inopportuns, affirme le communiqué, traduisent la propension de certains à ternir l'exercice démocratique en usant de méthodes violentes à l’encontre des militants et élus du parti.
De ce fait, l'USFP qui s'est dit prêt à faire face à toutes les manœuvres visant ses militants et élus, a appelé les autorités locales à agir et assumer leur responsabilité face à cette culture politique malsaine que tentent d’imposer certaines parties. Les militantes et militants du parti dans la province ainsi que l'ensemble des citoyens, ajoute le communiqué, sont appelés à plus de vigilance pour contrecarrer ces tentatives désespérées visant à exploiter le climat d’ouverture politique que vit le Maroc. Leur dessein est de porter atteinte à la diversité des positions et donc de semer des discordes.
Mohammed Baami qui a reçu un certificat d’incapacité de 30 jours, a déposé plainte auprès du procureur du Roi près le tribunal de première instance à Essaouira contre dix agresseurs, y compris un édile du PAM qui l'a ouvertement menacé d'agression, une semaine auparavant en présence de deux autres élus locaux.
La plainte rappelle l'agression physique et les menaces de mort proférées par neuf agresseurs entrés de force au siège de la commune lors d’une réunion du bureau communal.
Mohammed Baami, rappelle-t-on, a été violemment frappé et traîné par terre loin de la commune, au vu et au su des autorités, des forces de l’ordre et des citoyens.
Certes, le pire a été évité grâce à l'intervention d'un citoyen qui l'avait abrité chez lui, mais les gendarmes venus par la suite pour dresser leur constat, n'ont procédé à aucune arrestation.