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Les économies toucheraient essentiellement les prestations de services et les coûts généraux, tandis que la branche recherche et développement serait en grande partie épargnée, indique le journal Svenska Dagbladet.
La même source ne précise pas pour le moment si les suppressions d’emplois envisagées concerneront aussi la branche médias, qui fait actuellement l’objet d’une réévaluation et est considérée par les analystes comme un actif susceptible d’être vendu, rapporte la MAP.
“Ericsson n’a pas communiqué sur les filiales ou les pays qui pourraient être affectés en particulier. Il est trop tôt pour évoquer des mesures spécifiques ou exclure un quelconque pays”, a déclaré sur son site web Ericsson, qui emploie environ 109.000 personnes dans le monde.
En juillet, le groupe avait dit vouloir accélérer son projet visant à doubler sa marge d’exploitation ajustée de 2016 de 6% et qu’il visait un objectif de réduction des coûts d’au moins 10 milliards de couronnes (1,05 milliard d’euros) par an d’ici la mi-2018.
Le groupe suédois fait face à une intensification de la concurrence du chinois Huawei et du finlandais Nokia dans un contexte de baisse des dépenses des opérateurs télécoms et de faiblesse des marchés émergents, alors que la demande pour la cinquième génération de téléphonie mobile (5G) tarde à se manifester.
Relégué par l’agence de notation Moody’s, début mai, en catégorie “spéculative”, ce qui signifie que la note de l’entreprise est maintenant dans la catégorie “non-investissement”, l’opérateur suédois a enregistré une perte nette de 10,9 milliards de couronnes (1,2 milliard de dollars) au premier trimestre de 2017, par rapport à un bénéfice net déclaré de 2,1 milliards de couronnes au premier trimestre de 2016.
En octobre 2016, il a annoncé la suppression de 3000 emplois en Suède, alors qu’il a également licencié le PDG Hans Vestberg cette année-là après une baisse respective du cours des actions et des bénéfices.