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Libé : Premières impressions après le titre avec Montpellier ?
Younès Belhanda : Très content bien sûr. Nous avons réussi une saison formidable ; elle était certes longue, mais on oublie tout lorsqu’on arrive à son objectif.
Juste après la consécration, c’est Marrakech et l’équipe nationale. Comment c’est l’ambiance ?
L’ambiance est toujours bonne quand on se retrouve afin de jouer pour l’équipe nationale. Il y a les anciens, mais surtout il y a les nouveaux. C’est une bonne chose ; on va former un groupe pour défendre les couleurs nationales lors des prochaines échéances officielles qui commenceront bientôt.
Justement, quelle idée avez- vous des nouveaux ?
S’ils sont là, c’est qu’ils le méritent. Le sélectionneur a fait appel à eux ; donc ils ont la capacité et le talent pour être en sélection. Maintenant le plus important, c’est de travailler tous ensemble et tirer dans le même sens pour aller de l’avant.
Pas de regret pour ceux qui ne sont pas là ?
Un peu oui, il y a des cadres qui ne sont pas là ; je dis bien Marwane Chamakh, Youssef Hadji et d’autres bien sûr, mais ce sont les choix de l’entraîneur et on les respecte. Oui, c’est vrai que les cadres vont nous manquer un peu, mais maintenant il y a un groupe et on va apprendre à jouer ensemble.
Revenons à vous : meilleur espoir de la Ligue 1, des offres des plus grands clubs d’Europe, idole des jeunes ici et ailleurs. Comment vivez-vous cette pression ?
Ce n’est pas une pression, ce n’est que du bonus et du bonheur pour moi. J’ai passé une saison formidable avec mon club, on s’est fait plaisir et on a fait plaisir à tous ceux qui nous aiment, qui nous ont supportés durant toute la saison. Maintenant c’est une page qui est tournée et on doit regarder devant. On est champions, mais ça retombe vite, on est contents deux jours, mais il faut vite se remettre au travail. On a des devoirs en clubs, mais on a aussi des devoirs en équipe nationale.
En tant que celui que tout le monde attend, comment gérez- vous le fait d’être probablement le meilleur joueur dans le groupe ?
Je ne dirai pas que je suis le meilleur joueur en équipe nationale, il y a de très bons éléments. Il y a certes des joueurs qui ont leur mot à dire, mais ce qui importe le plus pour nous maintenant, c’est de bien jouer ensemble, de représenter dignement le pays et d’offrir de bonnes choses au public marocain.
Qu’en est- il de l’avenir ? Où évoluerez-vous la saison prochaine ?
Franchement, je ne pourrai rien vous dire. Oui c’est normal et c’est quelque chose qu’on ne peut pas cacher, il y a eu des offres de quelques clubs, des discussions, mais je ne pourrai rien vous dire à ce sujet.
Même si on insiste ?
Dieu seul le sait. (Rires).
Younès Belhanda : Très content bien sûr. Nous avons réussi une saison formidable ; elle était certes longue, mais on oublie tout lorsqu’on arrive à son objectif.
Juste après la consécration, c’est Marrakech et l’équipe nationale. Comment c’est l’ambiance ?
L’ambiance est toujours bonne quand on se retrouve afin de jouer pour l’équipe nationale. Il y a les anciens, mais surtout il y a les nouveaux. C’est une bonne chose ; on va former un groupe pour défendre les couleurs nationales lors des prochaines échéances officielles qui commenceront bientôt.
Justement, quelle idée avez- vous des nouveaux ?
S’ils sont là, c’est qu’ils le méritent. Le sélectionneur a fait appel à eux ; donc ils ont la capacité et le talent pour être en sélection. Maintenant le plus important, c’est de travailler tous ensemble et tirer dans le même sens pour aller de l’avant.
Pas de regret pour ceux qui ne sont pas là ?
Un peu oui, il y a des cadres qui ne sont pas là ; je dis bien Marwane Chamakh, Youssef Hadji et d’autres bien sûr, mais ce sont les choix de l’entraîneur et on les respecte. Oui, c’est vrai que les cadres vont nous manquer un peu, mais maintenant il y a un groupe et on va apprendre à jouer ensemble.
Revenons à vous : meilleur espoir de la Ligue 1, des offres des plus grands clubs d’Europe, idole des jeunes ici et ailleurs. Comment vivez-vous cette pression ?
Ce n’est pas une pression, ce n’est que du bonus et du bonheur pour moi. J’ai passé une saison formidable avec mon club, on s’est fait plaisir et on a fait plaisir à tous ceux qui nous aiment, qui nous ont supportés durant toute la saison. Maintenant c’est une page qui est tournée et on doit regarder devant. On est champions, mais ça retombe vite, on est contents deux jours, mais il faut vite se remettre au travail. On a des devoirs en clubs, mais on a aussi des devoirs en équipe nationale.
En tant que celui que tout le monde attend, comment gérez- vous le fait d’être probablement le meilleur joueur dans le groupe ?
Je ne dirai pas que je suis le meilleur joueur en équipe nationale, il y a de très bons éléments. Il y a certes des joueurs qui ont leur mot à dire, mais ce qui importe le plus pour nous maintenant, c’est de bien jouer ensemble, de représenter dignement le pays et d’offrir de bonnes choses au public marocain.
Qu’en est- il de l’avenir ? Où évoluerez-vous la saison prochaine ?
Franchement, je ne pourrai rien vous dire. Oui c’est normal et c’est quelque chose qu’on ne peut pas cacher, il y a eu des offres de quelques clubs, des discussions, mais je ne pourrai rien vous dire à ce sujet.
Même si on insiste ?
Dieu seul le sait. (Rires).