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Dans un entretien accordé à Libé,
l’entraîneur du Raja Mhamed Fakhir revient sur
l’hommage rendu aux Verts, au
championnat
national, à laCoupe arab
Libé : Qu’est-ce que cela représente pour vous cette initiative prise par la wilaya de Casablanca de rendre un hommage au Raja?
Le Raja est un club connu par ses titres et par sa contribution à l’essor du sport aussi bien au niveau régional que national. Cette réception est un honneur pour toute la famille rajaouie qui remercie les autorités de la ville pour ce geste. Un hommage et une reconnaissance qui nous pousseront à travailler davantage en vue de réaliser d’autres probants résultats.
Entraîner le Raja, c’est de la pression tous les jours.
Coacher le Raja ou le Wydad, deux clubs qui ont un grand public, vous procure de la fierté. Ce qui vous pousse à fournir plus d’efforts en vue de satisfaire les supporteurs assoiffés de titres. L’important est que le public soutienne son club même lorsque celui-ci se trouve en difficulté. A cet effet, le Raja, le Wydad et bien entendu l’AS.FAR, un club qui a gagné plusieurs titres, sont des exemples pour les autres équipes du terroir.
Que pensez-vous de la programmation des matches, surtout que le Raja avait formulé le souhait de disputer son prochain match contre l’OCK à Marrakech, mais sa requête n’a pas été satisfaite ?
Excepté les matches contre l’OCS et le WAC, les sept dernières rencontres nous les avons disputées en dehors de nos bases, ce qui a eu un impact négatif sur la condition physique des joueurs. Même si les déplacements irritent les joueurs, nous avons voulu jouer notre prochain match du championnat contre l’Olympique de Khouribga au Grand stade de Marrakech vu le bon état de la pelouse de celui-ci. Sauf que les autorités de la ville ocre n’ont pas donné leur accord et nous sommes donc dans l’obligation de jouer le match contre l’OCK au stade Père Jégo. Je tiens à remercier Abdelhak Mendoza pour les efforts qu’il fournit afin d’entretenir la pelouse en bon état.
Quelles sont les leçons que vous avez tiré de la rencontre de la Coupe arabe des clubs champions contre l’équipe tunisienne de Bizerte?
Nous avons perdu le match retour sur le score de deux à zéro, mais à l’aller, notre équipe a fait le plein en s’imposant sur la marque de quatre buts. C’est pour parer à ce genre de situation que je pousse mon équipe à sortir un football où seule l’efficacité doit prévaloir. Si nous avions opté pour le foot spectacle, le Raja aurait gagné ce match sur un court score et cela aura été l’élimination directe, surtout que je connais très bien l’ambiance des matches en Tunisie.
Propos recueillis
l’entraîneur du Raja Mhamed Fakhir revient sur
l’hommage rendu aux Verts, au
championnat
national, à laCoupe arab
Libé : Qu’est-ce que cela représente pour vous cette initiative prise par la wilaya de Casablanca de rendre un hommage au Raja?
Le Raja est un club connu par ses titres et par sa contribution à l’essor du sport aussi bien au niveau régional que national. Cette réception est un honneur pour toute la famille rajaouie qui remercie les autorités de la ville pour ce geste. Un hommage et une reconnaissance qui nous pousseront à travailler davantage en vue de réaliser d’autres probants résultats.
Entraîner le Raja, c’est de la pression tous les jours.
Coacher le Raja ou le Wydad, deux clubs qui ont un grand public, vous procure de la fierté. Ce qui vous pousse à fournir plus d’efforts en vue de satisfaire les supporteurs assoiffés de titres. L’important est que le public soutienne son club même lorsque celui-ci se trouve en difficulté. A cet effet, le Raja, le Wydad et bien entendu l’AS.FAR, un club qui a gagné plusieurs titres, sont des exemples pour les autres équipes du terroir.
Que pensez-vous de la programmation des matches, surtout que le Raja avait formulé le souhait de disputer son prochain match contre l’OCK à Marrakech, mais sa requête n’a pas été satisfaite ?
Excepté les matches contre l’OCS et le WAC, les sept dernières rencontres nous les avons disputées en dehors de nos bases, ce qui a eu un impact négatif sur la condition physique des joueurs. Même si les déplacements irritent les joueurs, nous avons voulu jouer notre prochain match du championnat contre l’Olympique de Khouribga au Grand stade de Marrakech vu le bon état de la pelouse de celui-ci. Sauf que les autorités de la ville ocre n’ont pas donné leur accord et nous sommes donc dans l’obligation de jouer le match contre l’OCK au stade Père Jégo. Je tiens à remercier Abdelhak Mendoza pour les efforts qu’il fournit afin d’entretenir la pelouse en bon état.
Quelles sont les leçons que vous avez tiré de la rencontre de la Coupe arabe des clubs champions contre l’équipe tunisienne de Bizerte?
Nous avons perdu le match retour sur le score de deux à zéro, mais à l’aller, notre équipe a fait le plein en s’imposant sur la marque de quatre buts. C’est pour parer à ce genre de situation que je pousse mon équipe à sortir un football où seule l’efficacité doit prévaloir. Si nous avions opté pour le foot spectacle, le Raja aurait gagné ce match sur un court score et cela aura été l’élimination directe, surtout que je connais très bien l’ambiance des matches en Tunisie.
Propos recueillis