-
Généralisation des systèmes de “Rendez-vous” et du “eTimbre” à l'ensemble des Missions diplomatiques et postes consulaires
-
Abdeltif Loudyi s’entretient avec le président du Comité militaire de l'OTAN
-
Crimes récurrents et systématiques perpétrés par la junte algérienne à Tindouf
-
Le Forum de dialogue des magistrats africains se penche à Addis-Abeba sur son plan d'action 2024-2026
-
Nizar Baraka réélu secrétaire général du Parti de l’Istiqlal
Réuni jeudi dernier, le Conseil de gouvernement a approuvé le choix de Houcine El Ouardi. Faisant fi de la levée de boucliers que celui-ci a enclenchée parmi les syndicats les plus représentatifs du secteur.
Said Fekkak, pour ne pas le nommer, dont la candidature a été rejetée par la commission spéciale formée par ledit ministre sous la direction du docteur Rachid Bekkali, directeur exécutif de la Fondation Lalla Salma de lutte contre le cancer, est ainsi passé à travers les mailles dressées par la législation.
Cette nomination a poussé plus d’un à se demander si dans le cas en l’espèce le népotisme partisan n’a pas fonctionné à plein régime. Quelle sera la réaction des syndicats du secteur qui avaient appelé le chef du gouvernement Abdelilah Benkirane à rejeter cette candidature contestée ?
Pour Mohamed Dahmani, secrétaire général du Syndicat national de la Santé publique, affilié à la FDT, la nomination à ce poste est loin d’être banale puisqu’elle ne vaut pas que par le titre qu’elle procure, mais plutôt par les responsabilités qu’elle impose. Cet établissement qui vise à permettre à tous les fonctionnaires du secteur de la santé d'accéder aux prestations sociales de base, notamment pour ce qui est de l'acquisition de logement, de la couverture médicale supplémentaire et du transport … exige un consensus entre toutes les parties concernées surtout au niveau de sa gestion, a-t-il tenu à préciser.
La Fondation Hassan II pour la promotion des œuvres sociales au profit du personnel du secteur public de la santé a été créée en 2009 en vertu de l'accord signé, entre le gouvernent Abbas El Fassi et quatre centrales syndicales, portant sur l'amélioration des conditions du personnel du secteur de la santé. Les prestations de la Fondation doivent bénéficier à tous les fonctionnaires et retraités du ministère de la Santé, aux employés des établissements publics soumis à sa tutelle, ainsi qu'à leurs épouses et enfants.