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La spéculation a conduit des promoteurs dubaïotes comme Nakheel, contrôlé par Dubaï World, à investir dans une multitude de projets, en empruntant auprès de banques qu'ils sont incapables de rembourser aujourd'hui.
Et ce sont précisément les engagements immobiliers et touristiques des filiales de Dubaï World, comme Nakheel, qui ont créé une mauvaise dette, aujourd'hui estimée à 26 milliards de dollars (sur 59 au total). Et il en va de la survie économique de Dubaï que Dubaï World ne fasse pas faillite. En effet, c'est lui qui contrôle le port de Dubaï et qui gère 48 autres ports à travers le monde. Un actif déjà mis à l'abri par les autorités. La société possède d'autres bijoux, comme des participations dans des gisements énergétiques en Russie et au Nigeria ou encore le fonds Istithmar (10 milliards de dollars d'actifs en 2008).









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