-
Clôture à Agadir du 2ème Festival national des jeunes chorégraphes
-
Installations immersives, IA et art génératif au programme de la 31ème édition du FIAV
-
Tomber de rideau sur le 1er Festival international des cultures de Casablanca
-
La Fondation nationale des musées rend hommage au professeur d'anthropologie Ali Amahan
«Un style, une identité». Voilà le mot d’ordre de la danseuse autodidacte Lina. Garder identité et modernité, telle est sa démarche. «Pratiquer la danse orientale, c’est bien plus qu’apprendre une technique de danse. C’est en fait brasser l’Orient et l’Occident. C’est réinventer ensemble un certain art de la fête où peuvent s’exprimer les émotions de chacune. Affirmation, grâce, sensualité, rythme et harmonie sont en chacune de vous. Je vous invite chaleureusement à les exprimer lors de mes cours. Il ne reste plus qu’à reprendre vos ceintures et vibrer sous le son de la derbouka!», explique Lina dans son propre site-web: "http://www.lina-danse.com/"
Il y a 10 ans, elle arrive à Paris et rencontre Assia Guemra (grande dame et chorégraphe internationale en oriental contemporain) qui l'aide à structurer sa danse et lui offre ses premières scènes. Elle intègrera par la suite la Compagnie Tellurgie et devient l'assistante d'Assia Guemra pendant 5 ans. D'autres rencontres magiques comme Gamel Seïf (maître en danse orientale), Vincent Ansart (Modern Jazz) apportent une autre dimension à sa danse. En parrallèle, elle se forme en popping/boogaloo avec Poppin Taco et Mr Smooth (chorégraphe et danseur de Mickael Jakson). Elle continue de s'y former avec Walid (danseur international, pionnier et immense star du boogaloo/pop) et Fox d'Actuel Force en Electro Pop (pionnier du mouvement hip-hop).
Elle a collaboré pour l'Unesco, Folles Nuits Berbères avec Karim Ziad (Ifrikya) au Cabaret Sauvage, Zénith pour 20 ans de Beur FM, Palais des Congrès (Année de l’Algérie à Paris), l’Institut du Monde Arabe...Elle enseigne à Paris et à l'international (Norvège Center African Cultur, Suède). Lina développe un style d'Oriental Fusion avec le boogaloo/pop (hip hop) car la base commune se retrouve dans l'isolation, les ondulations et la technique du bassin. Elle se considère «danseuse sans étiquette». Elle refuse le cliché «Danse du ventre » qui, pour elle, «dévalorise et cache toute la beauté et l'étendue de la danse orientale».








Clôture à Agadir du 2ème Festival national des jeunes chorégraphes
