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Les saveurs des cuisines française et amazighe ont été, samedi, à l'honneur lors de la 3ème édition du Festival de la diplomatie culinaire, à l'occasion d'une séance de dégustation de plats confectionnés par deux chefs-étoilés marocain et français.
C'est au rythme des musiques marocaine et orientale que les convives du 3ème festival de la diplomatie culinaire de Fès ont savouré une brochette de mets proposés par la cheffe marocaine Najat Kanaache et son confrère français Christian Tetedoie.
Organisée par l'Agence d'ingénierie culturelle "Parchemins concepts", cette manifestation vise à "ériger l'art gastronomique mais également la réflexion intellectuelle, en vecteurs privilégiés d’un échange interculturel".
Chaque jour, un pays et une tradition marocaine seront à l’honneur. Cette année, les traditions arabo-andalouse, amazighe et hébraïque du Maroc seront mises en avant.
Casablanca
La direction de l'hôpital d'enfants à Casablanca a indiqué que l'enfant A.K souffre d'une infirmité cérébrale depuis sa naissance et que l'imagerie par résonance magnétique (IRM) ne revêt pas un caractère urgent dans son cas.
Selon un communiqué du ministère de la Santé, publié suite aux informations relayées par certains médias électroniques concernant un rendez-vous pour IRM fixé au 2 octobre 2019, l'enfant âgé de 4 ans et bénéficiant de la carte Ramed a été admis au service diagnostic de l'hôpital provincial Moulay El Hassan à Nouaceur, le 18 avril, où le pédiatre a diagnostiqué une hémiplégie partielle due à une dystocie.
Le médecin spécialiste a décidé, alors, de rediriger le patient vers l'hôpital d'enfants Abderrahim Harouchi, relevant du Centre hospitalier universitaire (CHU) Ibn Rochd à Casablanca, pour examens complémentaires et suivi.
DGAPR
La direction de la prison locale Ain Borja de Casablanca a affirmé que le détenu T.B jouit, depuis son incarcération, de tous ses droits légaux, dont celui de communiquer avec sa famille, soit lors des visites, soit par correspondance.
En réponse aux déclarations d'un des avocats du détenu à certains journaux électroniques, prétendant que son client est privé de recevoir des lettres, la direction, citée par un communiqué de la Délégation générale à l'administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR), précise que ledit détenu a reçu cinq lettres de son épouse, durant la période allant du 2 au 11 avril, et trois autres de ses enfants et de sa sœur, le 19 avril, soulignant que toutes les lettres ont été remises à l'intéressé contre accusés de réception.
Condamnant les déclarations fallacieuses véhiculées à maintes reprises par la défense du détenu concerné, devant les supports médiatiques, la direction assure que ces agissements ne la dissuaderont aucunement d'appliquer la loi à l'encontre de l'ensemble des prisonniers sans distinction aucune.