-
Marrakech accueille la 14e édition du Salon international de médecine générale
-
USA/Robotique : Des élèves marocains primés au Massachusetts
-
435 détenus décrochent leur baccalauréat au titre de la session de juin
-
Une masterclass pour renforcer les capacités des femmes en matière d'Intelligence artificielle

Le service préfectoral de la police judiciaire de Rabat a placé en garde à vue cinq personnes dans le cadre de l'enquête judiciaire menée suite à l’accident de circulation avec blessures et dégâts matériels, provoqué lundi dernier à Rabat par le conducteur d’une voiture.
Il s’agit du chauffeur, de son frère et de leur compagnon, ainsi que de l’officier qui était chargé de gérer les mesures de sécurité dans le périmètre de l’accident, et de l’inspecteur chargé de dresser le constat, indique, jeudi, la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN).
Les cinq personnes interpellées sont soupçonnées de tentative de modification des indices de l’accident à travers la présentation de données erronées pour les inclure dans un PV légal, outre la dissimulation et la destruction d’une preuve matérielle parmi les objets saisis relatifs à l’enquête, précise la DGSN dans un communiqué.
Ikfaf
Les crises d’hystérie collective ayant atteint, mercredi, 35 élèves du lycée qualifiant Ibn Toumert dans la commune d'lkfaf (province de Khouribga) ne sont liés à aucune une maladie, virus, épidémie ou intoxication alimentaire, a affirmé la province.
Ces cas ont été transportés en urgence à l'hôpital provincial Hassan II de Khouribga, où un staff spécialisé a procédé aux examens nécessaires, indique un communiqué de la province, notant que ces examens ont révélé que les filles ne sont atteintes d'aucune maladie.
Les victimes ayant reçu les premiers soins et bénéficié des examens nécessaires ont quitté l’hôpital, à l’exception de quelques-unes qui rejoindront bientôt leurs parents, ajoute la même source.
Marrakech
Le service préfectoral de la police judiciaire de Marrakech a procédé, mercredi, à l’arrestation de deux personnes, qui faisaient l’objet d’avis de recherche à l’échelle nationale pour leur implication présumée dans la distillation et la vente de l’eau-de-vie.
Le principal accusé, ayant des antécédents judiciaires pour vente de l’eau-de-vie, a été interpellé à son domicile situé à la commune rurale Oulad Hassoun qu'il utilise comme usine clandestine pour la fabrication de cette boisson alcoolisée, indique jeudi la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN), ajoutant que son complice a été également appréhendé sur les lieux.
Cette opération s’est soldée par la saisie de 3.000 litres de l’eau-de-vie prêts à la vente, précise la même source, notant que la perquisition a permis la saisie d’objets utilisés dans la distillation de cette matière, des bidons, des bonbonnes de gaz et des sacs comprenant de matières premières pour la fabrication de l’eau-de-vie.