-
Pour des solutions durables aux maux de la planète
-
Semaine nationale de vaccination
-
La direction de la prison locale El Jadida 2 réfute "les allégations infondées" sur "la privation des détenus de la nourriture"
-
Une concrétisation du soutien efficace de l'INDH au secteur de la santé
-
Immersion au coeur du souk Dlala des Habous
Les éléments de la police judiciaire relevant du district de sûreté d'Anfa à Casablanca ont procédé, jeudi, à l'arrestation de quatre individus âgés entre 18 et 24 ans, dont l'un d'entre eux ayant de multiples antécédents judiciaires, pour leur implication présumée dans des actes de vandalisme sur un bus de transport urbain avec menace à l'arme blanche de ses passagers.
Les mis en cause, sous l'emprise de drogues et d'alcool, étaient à bord dudit bus dans le quartier de Bourgone à Casablanca lorsqu'ils sont entrés en conflit avec d'autres passagers, indique la Direction générale de la sûreté nationale dans un communiqué, ajoutant que la situation a évolué en échange de violences à l'arme blanche, causant des dégâts matériels au bus et menaçant la sécurité de ses passagers.
Le conducteur du bus a alerté les services de police qui ont entamé des enquêtes de terrain intensifiées. Ces dernières ont permis d'interpeller les principaux mis en cause qui ont été soumis à l'enquête judiciaire menée sous la supervision du parquet compétent, en vue d'élucider les circonstances de cet incident, précise la DGSN, notant que l'enquête et les investigations se poursuivent pour arrêter les autres personnes impliquées dans cette affaire.
Enquête
Les éléments de la brigade touristique relevant de la préfecture de police de Rabat ont appréhendé, jeudi à Rabat, trois étudiants d'une institution professionnelle privée, dont deux filles, en train d'enregistrer des vidéos avec des commentaires vocaux faisant état de crimes qui n'ont jamais eu lieu.
Les éléments de la police ont arrêté les trois individus, âgés entre 18 et 19 ans, alors qu'ils filmaient des séquences vidéo sur l'esplanade de la mosquée Tour Hassan à Rabat, a indiqué la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) dans un communiqué, précisant que dans ces séquences, les deux filles apparaissent assises l'une à côté de l'autre, la mosquée en image de fond, avec quelques mouvements à connotation sexuelle, accompagnés d'un commentaire vocal prétendant, de façon mensongère, qu'il s'agit de pratiques perverses entre filles dans l'une des mosquées du Maroc.
Une enquête a été ouverte à ce sujet sous la supervision du parquet compétent, afin de déterminer les circonstances ainsi que les tenants et les aboutissants de cette affaire, conclut la source.