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La coopération fructueuse et de longue date entre le Maroc et l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), qui n’a eu de cesse de se développer au fil des années, est appelée à prendre un nouvel élan à la faveur d’un programme de partenariat qui devra être conclu très prochainement entre les deux parties. En effet, ce programme a franchi des étapes importantes durant l’année 2014 suite à des réunions entre les responsables marocains concernés et ceux de l’OCDE, ainsi qu’à la mission effectuée en septembre dernier par l’Organisation dans le Royaume. Ledit programme, qui constitue le couronnement de plusieurs projets de coopération entre les deux parties, a été adopté en mai dernier par le Conseil des ministres des pays membres de l’OCDE qui ont accueilli avec satisfaction cette décision destinée à étayer les efforts de réforme dans le Royaume. Il permettra ainsi au Maroc d’adhérer à certains instruments juridiques de l’OCDE et de bénéficier de conseils ciblés à l’appui de son programme national de réformes, outre le partage d’expériences.
Pétrole
La spéculation contribue fortement à pousser les prix à la baisse, a indiqué dimanche le secrétaire général de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), Abdallah Al-Badri, notant que les fondamentaux du marché pétrolier, notamment l’offre et la demande, ne justifient pas l’effondrement actuel des cours. “L’offre et la demande ont connu une légère hausse qui n’explique pas cet effondrement de 50 % des prix depuis la mi-juin”, a précisé M.Al-Badri, soulignant que les pays producteurs non membres de l’Opep ont augmenté de quelque six millions de barils (mbj) supplémentaires leur offre sur le marché, contribuant ainsi à la chute des cours. Le secrétaire général a rappelé que le plafond de “production de l’Opep n’a pas changé depuis 10 ans, resté à quelque 30 mbj”. Le baril a perdu près de la moitié (46 %) de sa valeur depuis son dernier pic de la mi-juin, selon les experts.