-
Région Béni-Mellal-Khénifra: signature d’une convention de partenariat pour la collecte de données sur les ménages
-
M’diq: Salon des femmes rurales pour encourager les initiatives économiques
-
Le 59ème Salon international de la rose à parfum, du 3 au 6 mai à Kelâat M’Gouna
-
Benguérir: session de formation dans le domaine de la mobilité électrique
-
Guercif: 1.800 élèves bénéficient d'informations et d'orientations post-baccalauréat
Au nom de l’Organisation internationale pour le développement intégral de la femme (OIDF), la militante sahraouie Aicha Douihi a attiré l’attention du Conseil des droits de l’Homme (CDH) sur la violation systématique des droits de réunion pacifique et d’association dans les camps.
La direction du Polisario a maintes fois clairement signifié aux militants associatifs que toute forme de manifestation ou de réunion demeure totalement interdite, a-t-elle rappelé, citant à ce propos l’implacable répression contre les manifestations de solidarité avec l’artiste dissident Najem Allal, même devant la représentation du Haut-commissariat aux réfugiés à Rabouni.
Les camps, a-t-elle dit, font l’objet en permanence d’un strict contrôle sécuritaire afin d’étouffer toutes les voix discordantes qui ne relayent pas les thèses des dirigeants séparatistes. C’est le cas, selon Mme Douihi, de l’ancien responsable du Polisario, Khalil Ahmad Mahmoud, kidnappé en 2009 et conduit vers une destination inconnue en Algérie, pour avoir exprimé des avis contraires à la propagande séparatiste.
S’exprimant sur le thème "Les défenseurs des droits de l’Homme, une mission impossible", le militant sahraoui Abdelouahab Gain Brahim a déploré devant le CDH le sort réservé à tous ceux qui osent contester les thèses des séparatistes.