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Une seconde manifestation a eu lieu dans la foulée, toujours devant le Parlement, où deux à trois mille enseignants stagiaires sont venus défendre la cause de 150 d'entre eux récemment recalés et auxquels les portes de la fonction publique pourraient être fermées.
Ce conflit avec le ministère de l'Education nationale dure depuis mi-2015. Il concerne la fin de l'intégration automatique des professeurs stagiaires dans la fonction publique, et la réduction de leur bourse. Il avait été en partie résolu après la signature d'un accord en avril avec le gouvernement.
«La mobilisation se poursuit contre les agissements successifs de l'Etat», ont écrit les manifestants sur l'une des banderoles.
«Les 150 profs ont été recalés pour des raisons politiques, la plupart sont des militants actifs de notre Coordination nationale des professeurs stagiaires», a affirmé Aoula, membre de cette organisation.
«Nous sommes ballottés, méprisés depuis des mois par l'Etat, notre avenir est incertains alors que nous sommes ceux qui formeront la jeunesse de notre pays», a-t-elle déploré.
«Liberté, dignité, justice sociale!», «Plutôt la mort que la soumission!», ont notamment scandé des manifestants