
La deuxième édition du Festival national du cinéma des jeunes s’est clôturée, vendredi soir à Errachidia, par la remise de prix aux porteurs des meilleures œuvres cinématographiques parmi des jeunes représentant les différentes régions du Royaume.
Ainsi, le prix du meilleur court-métrage documentaire est revenu au film Tizi N’Ouamaragh de Kaoutar Ouizgan et Fatima Zoubair (Drâa-Tafilalet), alors que celui du meilleur scénario a été décerné au film "Tamima" de Mohamed Mnouar (Fès-Meknès).
Pour ce qui est du prix de la meilleure interprétation féminine, il a été remporté exaequo par Ouissam Simona (Laâyoune-Sakia El Hamra) pour son film "Oumnia" et Drissia Khadiri (Drâa-Tafilalet) pour son film "Dil la yamout", tandis que le prix de la meilleure interprétation masculine a été attribué à Mohamed Mnouar (Fès-Meknès).
Quant au prix de la meilleure photographie, il a été décerné à Yassine Moujahid (Casablanca-Settat) pour son film "Ziad", tandis que le prix du jury a été remporté par "Al Wahch" de Nassim Belaarbi (Rabat-Salé-Kénitra) et le prix du meilleur réalisateur par Taoufik Afkir (région de l'Oriental) pour son film "Panopticon".
Des mentions spéciales ont également été attribuées aux films "Rihla 7" de Noura El Wahch (Souss-Massa), "Fat El Fout" de Hamza Jab (Guelmim-Oued Noun) et "Tamima" de Mohamed Mnouar (Fès-Meknès).
Dans une déclaration à la MAP, la jeune Fatima Zoubair s’est dite "très heureuse" d'être primée lors de ce rendez-vous cinématographique qui constitue une plateforme idoine visant à encourager les jeunes à aller de l’avant dans les domaines inhérents au 7e art et à promouvoir la production cinématographique.
"Je suis heureuse d’avoir vu cette belle interaction du public avec le film qui a pu transmettre aux spectateurs une panoplie de sensations, de valeurs et d'émotions", a-t-elle dit.
Initiée par la Direction régionale de la jeunesse de Drâa-Tafilalet, en coopération avec plusieurs partenaires, la deuxième édition du Festival national du cinéma des jeunes (27- 30 mai), a pour objectifs de promouvoir la culture cinématographique auprès des jeunes, de dénicher et développer les compétences des talents et de mettre en lumière les atouts cinématographiques dont regorge la région.
Placée sous le thème "Le cinéma des jeunes, un espace de pensée et de créativité", cette édition a réuni une vingtaine de clubs de cinéma relevant des différentes régions du Royaume.
Ainsi, le prix du meilleur court-métrage documentaire est revenu au film Tizi N’Ouamaragh de Kaoutar Ouizgan et Fatima Zoubair (Drâa-Tafilalet), alors que celui du meilleur scénario a été décerné au film "Tamima" de Mohamed Mnouar (Fès-Meknès).
Pour ce qui est du prix de la meilleure interprétation féminine, il a été remporté exaequo par Ouissam Simona (Laâyoune-Sakia El Hamra) pour son film "Oumnia" et Drissia Khadiri (Drâa-Tafilalet) pour son film "Dil la yamout", tandis que le prix de la meilleure interprétation masculine a été attribué à Mohamed Mnouar (Fès-Meknès).
Quant au prix de la meilleure photographie, il a été décerné à Yassine Moujahid (Casablanca-Settat) pour son film "Ziad", tandis que le prix du jury a été remporté par "Al Wahch" de Nassim Belaarbi (Rabat-Salé-Kénitra) et le prix du meilleur réalisateur par Taoufik Afkir (région de l'Oriental) pour son film "Panopticon".
Des mentions spéciales ont également été attribuées aux films "Rihla 7" de Noura El Wahch (Souss-Massa), "Fat El Fout" de Hamza Jab (Guelmim-Oued Noun) et "Tamima" de Mohamed Mnouar (Fès-Meknès).
Dans une déclaration à la MAP, la jeune Fatima Zoubair s’est dite "très heureuse" d'être primée lors de ce rendez-vous cinématographique qui constitue une plateforme idoine visant à encourager les jeunes à aller de l’avant dans les domaines inhérents au 7e art et à promouvoir la production cinématographique.
"Je suis heureuse d’avoir vu cette belle interaction du public avec le film qui a pu transmettre aux spectateurs une panoplie de sensations, de valeurs et d'émotions", a-t-elle dit.
Initiée par la Direction régionale de la jeunesse de Drâa-Tafilalet, en coopération avec plusieurs partenaires, la deuxième édition du Festival national du cinéma des jeunes (27- 30 mai), a pour objectifs de promouvoir la culture cinématographique auprès des jeunes, de dénicher et développer les compétences des talents et de mettre en lumière les atouts cinématographiques dont regorge la région.
Placée sous le thème "Le cinéma des jeunes, un espace de pensée et de créativité", cette édition a réuni une vingtaine de clubs de cinéma relevant des différentes régions du Royaume.
Bouillon
Spectacle
Le Palais des arts et de la culture de Tanger abrite, le 19 juin, le spectacle de danse “FÊU” du chorégraphe Fouad Boussouf.
Le chorégraphe explore la puissance du mouvement collectif féminin dans un cercle envoûtant et régénérateur. Dix danseuses, portées par une physicalité intense et un vocabulaire mêlant hip-hop et danse contemporaine, donnent corps à une performance fluide et vibrante.
“FÊU” se veut ainsi un hommage à l’énergie vitale, à la mémoire de l’enfance et à la force du féminin, dans une communion organique avec la terre.
Projection
La projection du film “En Fanfare” d'Emmanuel Courcol aura lieu, le 13 juin, à l’Institut français de Tétouan.
Le film relate l’histoire de Thibaut, chef d’orchestre de renommée internationale qui parcourt le monde. Lorsqu’il apprend qu’il a été adopté, il découvre l’existence d’un frère, Jimmy, employé de cantine scolaire et qui joue du trombone dans une fanfare du nord de la France.
En apparence tout les sépare, sauf l’amour de la musique. Détectant les capacités musicales exceptionnelles de son frère, Thibaut se donne pour mission de réparer l’injustice du destin, et Jimmy se prend alors à rêver d’une autre vie.
Tournage
La réalisatrice et productrice marocaine, Zhor Fassi-Fihri, donnera, mardi, le premier clap pour le tournage de son film "L’Homme des Signes" qui retrace la vie de l’artiste et président de la Fondation nationale des musées (FNM) Mehdi Qotbi.
Tourné entre le Maroc et la France, ce long métrage co-écrit avec Jérôme Cohen-Olivar, s'inspire librement de la vie du peintre Mehdi Qotbi, combinant des éléments réels et fictifs pour relater son parcours depuis Rabat, qui l’a vu naitre, jusqu'à sa reconnaissance comme un peintre de renommée mondiale.
Selon une note de présentation, "L’Homme des Signes" met en vedette un casting d'acteurs de renom : Vincent Elbaz incarnera Mehdi Qotbi à l'âge adulte, aux côtés d’Ayoub Abou Nacer, François Berléand, Galiam Bruno Henry, Philippe Caverivière, Victoria Abril, et Hiba Bennani dans des rôles clés. Quant au jeune Abderrahmane Oukour, espoir masculin du cinéma marocain, il interprétera Mehdi adolescent.
Le tournage se déroulera principalement au Maroc, à travers plusieurs villes pittoresques, pour une durée de six semaines, et se poursuivra ensuite pour deux semaines à Paris et Toulouse.
Selon la même source, "cette diversité de lieux, souvent méconnus et pourtant spectaculaires, enrichira le récit visuel et émotionnel du film".
Après son premier long métrage, «The Moderator», sorti en 2022, Zhor Fassi-Fihri ajoute dans ce nouveau film une casquette de coproductrice et de coscénariste. Elle a constitué une équipe technique 100% marocaine, soulignant son engagement à fusionner les talents marocains et internationaux.
Pour ses instigateurs, «ce film est non seulement la mise en scène d’un parcours de vie inspirant, du cheminement de la naissance d’un art puisant sa source des deux côtés de la Méditerranée, mais aussi une belle illustration de l'amitié franco-marocaine».
Le Palais des arts et de la culture de Tanger abrite, le 19 juin, le spectacle de danse “FÊU” du chorégraphe Fouad Boussouf.
Le chorégraphe explore la puissance du mouvement collectif féminin dans un cercle envoûtant et régénérateur. Dix danseuses, portées par une physicalité intense et un vocabulaire mêlant hip-hop et danse contemporaine, donnent corps à une performance fluide et vibrante.
“FÊU” se veut ainsi un hommage à l’énergie vitale, à la mémoire de l’enfance et à la force du féminin, dans une communion organique avec la terre.
Projection
La projection du film “En Fanfare” d'Emmanuel Courcol aura lieu, le 13 juin, à l’Institut français de Tétouan.
Le film relate l’histoire de Thibaut, chef d’orchestre de renommée internationale qui parcourt le monde. Lorsqu’il apprend qu’il a été adopté, il découvre l’existence d’un frère, Jimmy, employé de cantine scolaire et qui joue du trombone dans une fanfare du nord de la France.
En apparence tout les sépare, sauf l’amour de la musique. Détectant les capacités musicales exceptionnelles de son frère, Thibaut se donne pour mission de réparer l’injustice du destin, et Jimmy se prend alors à rêver d’une autre vie.
Tournage
La réalisatrice et productrice marocaine, Zhor Fassi-Fihri, donnera, mardi, le premier clap pour le tournage de son film "L’Homme des Signes" qui retrace la vie de l’artiste et président de la Fondation nationale des musées (FNM) Mehdi Qotbi.
Tourné entre le Maroc et la France, ce long métrage co-écrit avec Jérôme Cohen-Olivar, s'inspire librement de la vie du peintre Mehdi Qotbi, combinant des éléments réels et fictifs pour relater son parcours depuis Rabat, qui l’a vu naitre, jusqu'à sa reconnaissance comme un peintre de renommée mondiale.
Selon une note de présentation, "L’Homme des Signes" met en vedette un casting d'acteurs de renom : Vincent Elbaz incarnera Mehdi Qotbi à l'âge adulte, aux côtés d’Ayoub Abou Nacer, François Berléand, Galiam Bruno Henry, Philippe Caverivière, Victoria Abril, et Hiba Bennani dans des rôles clés. Quant au jeune Abderrahmane Oukour, espoir masculin du cinéma marocain, il interprétera Mehdi adolescent.
Le tournage se déroulera principalement au Maroc, à travers plusieurs villes pittoresques, pour une durée de six semaines, et se poursuivra ensuite pour deux semaines à Paris et Toulouse.
Selon la même source, "cette diversité de lieux, souvent méconnus et pourtant spectaculaires, enrichira le récit visuel et émotionnel du film".
Après son premier long métrage, «The Moderator», sorti en 2022, Zhor Fassi-Fihri ajoute dans ce nouveau film une casquette de coproductrice et de coscénariste. Elle a constitué une équipe technique 100% marocaine, soulignant son engagement à fusionner les talents marocains et internationaux.
Pour ses instigateurs, «ce film est non seulement la mise en scène d’un parcours de vie inspirant, du cheminement de la naissance d’un art puisant sa source des deux côtés de la Méditerranée, mais aussi une belle illustration de l'amitié franco-marocaine».