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Une campagne aux forts relents d’argent sale
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Les précisions de la DGSN et la DGST
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Faire de l’arrondissement Rabat-Souissi un modèle du vivre ensemble
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Plus d'un demi-siècle d'engagement pour la promotion de la démocratie locale
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El Hassan Lachguar : Les habitants de l’arrondisement de Youssoufia sont tous les matins là pour Rabat mais Rabat n’est jamais là pour eux
«L’USFP a choisi de lancer sa campagne électorale à partir d’Agadir. Ce choix est une reconnaissance du travail colossal que nous avons accompli dans cette ville, un travail au profit des habitants de la ville. Certes, il reste encore beaucoup à faire. Mais notre programme est bâti sur ce qu’ont vu nos concitoyens, c’est-à-dire la poursuite de la réalisation des mêmes programmes. Mais nous voulons aussi résoudre certains problèmes et éliminer certains points noirs. On ne veut plus entendre parler d’habitants vivant dans les piémonts dans des conditions indécentes. C’est le genre de problèmes que nous devons résoudre. Et puis, il y a également les problèmes du transport urbain qui va être résolu dans les prochains mois parce que nous avons signé une convention avec une société étrangère. Il y a aussi le problème de l’enseignement, même si nous ne sommes pas responsables de ce secteur. Nous pensons que la municipalité se doit d’intervenir dans ce domaine pour que l’enseignement soit au niveau, et ce pour le grand bien des jeunes et des enfants de la ville parce qu’une ville dont les enfants n’ont pas une formation de haut niveau est une ville qui n’a pas d’avenir. Nous voulons donc accorder une attention particulière aux jeunes de cette ville. Et nous avons déjà commencé à le faire à travers l’ouverture d’un certain nombre d’infrastructures sociales au profit des jeunes et des habitants d’une manière générale, mais nous devons continuer sur cette voie».
o Saâdia El Bahi
« Je pense que la candidature de la femme pour les échéances municipales et en particulier la liste additionnelle est l’expression même d’une ferme volonté des femmes quant à leur participation à la gestion des affaires locales. En effet, celles-ci ont toujours revendiqué des postes de décision en parité avec les hommes et en conformité avec le raffermissement des droits de l’Homme et de la démocratie dans notre pays.Il va sans dire que les femmes ont déjà atteint un pourcentage qui est un exemple dans le monde arabe pour ce qui est de sa participation au Parlement et la position qu’elle occupe dans les domaines économiques et sociaux et aussi en ce qui concerne le Code la famille qui constitue également une avancée importante pour la femme marocaine.
On n’insistera donc jamais assez sur la nécessité de la participation de la femme à la gestion des affaires locales et à leur bonne gouvernance, en toute responsabilité et en toute probité».