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Jamel Debbouze, interprète du film "Indigènes" diffusé jeudi à la télévision française, demande une nouvelle fois l'alignement des pensions des quelque 80.000 anciens combattants des ex-colonies sur celles de leurs frères d'armes français.
"Qu'est-ce qu'on attend, que le dernier meure pour rétablir la situation? Non, ce n'est pas gentil (...) Ils n'ont plus le temps", déclare l'acteur et humoriste de parents marocains. "La reconnaissance réelle à l'égard de ceux qui ont risqué leur vie pour la France, c'est de rétablir les pensions", estime-t-il dans un entretien diffusé mercredi sur Europe-1."On s'en fout des mots, on s'en fout des discours (...) C'est dégradant pour la France de continuer à débattre sur le sujet, ça devrait être clos depuis belle lurette", s'écrie Jamel Debbouze, interrogé sur l'hommage rendu le 8 mai dernier par le président Nicolas Sarkozy aux anciens soldats des ex-colonies françaises.
"Qu'est-ce qu'on attend, que le dernier meure pour rétablir la situation? Non, ce n'est pas gentil (...) Ils n'ont plus le temps", déclare l'acteur et humoriste de parents marocains. "La reconnaissance réelle à l'égard de ceux qui ont risqué leur vie pour la France, c'est de rétablir les pensions", estime-t-il dans un entretien diffusé mercredi sur Europe-1."On s'en fout des mots, on s'en fout des discours (...) C'est dégradant pour la France de continuer à débattre sur le sujet, ça devrait être clos depuis belle lurette", s'écrie Jamel Debbouze, interrogé sur l'hommage rendu le 8 mai dernier par le président Nicolas Sarkozy aux anciens soldats des ex-colonies françaises.