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Le film marocain "De l'eau et du sang" de Abdelilah Eljaouhari vient d’être sélectionné dans la compétition officielle des courts-métrages du Festival international de cinéma d'Alexandrie en Egypte.
Vainqueur du Poulain d'or de Yennenga lors de la 24ème édition du FESPACO, au Burkina Faso, et du prix du jury lors de la dernière édition du Festival international du film arabe à Oran, le film met en avant les rapports divers qu’entretiennent les membres d’une même famille avec l’eau et le sang. Des relations très subjectives, étant donné les événements emmagasinés par chacun des membres par le passé.
Ainsi, si l'eau évoque la vie, le sang en revanche, renvoie le père vers les tortures des années de braise, la mère vers l'accouchement. Quant au fils, lui, il se souvient de sa circoncision … égorger un mouton le jour de l’aid, probablement, est une occasion de se remémorer de ces relations et de ses représentations.
Diverses visions personnelles, voire subjectives s'expriment pour marquer différents événements et en fonction de l'âge. En quelques minutes, le réalisateur a pu transmettre un certain nombre de messages essentiels. Un film où la fluidité des séquences provoque des suspens et des attentes diverses.
Scénario du talentueux Mohamed Ariouès, le film qui a beaucoup plu aux spécialistes du cinéma, met aux prises un bouquet de comédiens marocains difficile à réunir dans un autre travail cinématographique. L’on y voit ainsi côte à côte feu Mohamed Bestaoui, Younès Mégri, Touria Alaoui, Naima Lamcharki, Mohamed Farah et l’enfant Naji Eljaouhari.
Vainqueur du Poulain d'or de Yennenga lors de la 24ème édition du FESPACO, au Burkina Faso, et du prix du jury lors de la dernière édition du Festival international du film arabe à Oran, le film met en avant les rapports divers qu’entretiennent les membres d’une même famille avec l’eau et le sang. Des relations très subjectives, étant donné les événements emmagasinés par chacun des membres par le passé.
Ainsi, si l'eau évoque la vie, le sang en revanche, renvoie le père vers les tortures des années de braise, la mère vers l'accouchement. Quant au fils, lui, il se souvient de sa circoncision … égorger un mouton le jour de l’aid, probablement, est une occasion de se remémorer de ces relations et de ses représentations.
Diverses visions personnelles, voire subjectives s'expriment pour marquer différents événements et en fonction de l'âge. En quelques minutes, le réalisateur a pu transmettre un certain nombre de messages essentiels. Un film où la fluidité des séquences provoque des suspens et des attentes diverses.
Scénario du talentueux Mohamed Ariouès, le film qui a beaucoup plu aux spécialistes du cinéma, met aux prises un bouquet de comédiens marocains difficile à réunir dans un autre travail cinématographique. L’on y voit ainsi côte à côte feu Mohamed Bestaoui, Younès Mégri, Touria Alaoui, Naima Lamcharki, Mohamed Farah et l’enfant Naji Eljaouhari.