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Se disant "surpris par ces accusations dangereuses, le ministère de l'Intérieur condamne vivement la tentative d'impliquer ses services et responsables dans une affaire partisane intérieure avec une intention politique loin de la nature des missions et des relations qu'entretient le ministère avec les différentes composantes de la scène politique nationale", indique un communiqué du ministère.
Le ministère considère que "les contenus des articles ne sont que des allégations politiques et médiatiques infondées, voire une tentative désespérée pour l'impliquer dans une compétition politique régie par des règles claires, des législations et des lois intérieures des partis", ajoute le communiqué.
Le ministère souligne qu'il veille à appliquer "les principes d'égalité dans ces relations avec les acteurs politiques et de neutralité par rapport aux différends qui peuvent surgir au sein des partis politiques nationaux, dans le souci de contribuer à la consécration des règles de démocratie dans la gestion des institutions partisanes qui constituent un partenaire incontournable dans le processus de consolidation de l'Etat des institutions".
Le communiqué note que "le ministère se réserve le droit de recourir à la justice afin de préserver son intégrité en tant qu'institution gouvernementale et de défendre ses responsables des accusations portées contre eux".











