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Le choix du thème n’est pas le fruit du hasard. Il répond à un sujet d’actualité plus brûlant que jamais. Mais pas seulement. “«Femmes au futur » propose à chacun.e de rompre avec les codes et de s’approprier l’avenir à travers une narration d’anticipation pour penser l’égalité de genre et dénoncer les inégalités qui menacent l’équilibre de nos sociétés de demain”, précise l’Institut français par le biais d’un communiqué.
Rien de bien surprenant finalement à ce que l’idée exprimée dans le film soit “le premier critère de sélection. La réalisation et la qualité technique seront prises en compte dans un second temps”, rappelle l’Institut français qui n’est pas à son premier coup d’essai. Le concours international de films courts Ana Maghribi.a ne date pas d’hier. Il a été créé en 2014 “afin de proposer un espace de libre expression et de créativité pour les jeunes sans contraintes de moyens”, indiquent les organisateurs. Et d’ajouter “Ce concours a pour vocation d’interroger la jeunesse sur des thématiques qui la concernent : l’identité, le statut des femmes, le changement climatique, l’ouverture au monde, vivre la ville ensemble, les rencontre(s), l’engagement ou encore l’africanité”.
Lors de l’édition précédente, une soixantaine de films ont été envoyés lors de l’édition 2021 d’Ana Maghribi.a. Mais seulement cinq prix ont été remis aux gagnants. Cette année, le jury composé de professionnels du cinéma et de l’audiovisuel, présidé par la réalisatrice et scénariste franco-marocaine Sofia Alaoui (Qu'importe si les bêtes meurent), aura la lourde de tâche de décerner trois prix. En parallèle, le Crédit du Maroc aura également son mot à dire en désignant un gagnant. Idem pour l’Institut français. Soit, encore une fois, 5 prix, auxquels s’ajouteront plusieurs autres pour récompenser les vidéos les plus créatives et originales.
Ainsi, l’Institut français du Maroc poursuit son engagement culturel sur l’ensemble du territoire national, via notamment ses 12 antennes dans les villes de Casablanca, Tanger, Marrakech, Rabat, Fès, Meknès, Tétouan, Oujda, Essaouira, Agadir, Kénitra et El Jadida.
Confirmant par la même occasion son rôle de principale plateforme de dialogue entre la France et le Maroc dans les domaines de la culture et du savoir. Sur chacun de ses 12 sites sont proposés des cours de français, un accompagnement des étudiants désireux de poursuivre leur formation supérieure en France, et donc l’organisation d’événements culturels, à travers divers services comme la médiathèque mis à disposition du public.
C.C