
La grande finale du concours "Cinéma en classe", organisée dans le cadre du projet éducatif "Madrastna", s’est clôturée lundi à Casablanca par une cérémonie de remise des prix aux jeunes lauréats.
Ainsi, le Grand Prix du meilleur film a été attribué à "Réflexion rétractée" de la région de Rabat-Salé-Kénitra, tandis que le Prix de la meilleure réalisation est revenu à "Rêves reportés" (région de Laâyoune-Sakia El Hamra), alors que le Prix du meilleur scénario a récompensé "Conflit" (région de Dakhla Oued-Ed-dahab).
Le jury a également décerné une mention spéciale au court-métrage "Visiteur infiltré" de la région de Souss-Massa. Enfin, le Prix du public a été attribué à "La Renaissance", un film porté par la région de l’Oriental.
Dans une déclaration à la MAP, le réalisateur Nabil Ayouch, président du jury, a salué l’enthousiasme et l’engagement des jeunes participants, tout en soulignant l’importance de cette initiative, menée en partenariat avec le ministère de l’Education nationale, du Préscolaire et des Sports, ainsi que la Fondation Ali Zaoua.
Il a rappelé que ce programme a permis, tout au long de l’année scolaire, de sensibiliser les élèves à la lecture de l’image, à l’analyse filmique et à l’exercice de la pensée critique à travers le prisme du cinéma.
"Aujourd’hui, nous sommes réunis pour célébrer le cinéma avec la jeunesse marocaine. Il est essentiel de redonner aux jeunes le goût de voir des films dans leur intégralité, de les aider à comprendre le monde à travers une œuvre longue, loin des formats courts omniprésents sur les réseaux sociaux", a-t-il déclaré en marge de la cérémonie.
Selon lui, cette initiative a éveillé chez les élèves une véritable envie de créer et de s’exprimer, donnant naissance à un concours national dont les douze courts-métrages finalistes, réalisés par de jeunes talents marocains, ont révélé des regards uniques porteurs d’identités singulières.
M. Ayouch a, par ailleurs, annoncé la reconduction de cette expérience artistique et pédagogique à travers une nouvelle édition dédiée à l’improvisation théâtrale, précisant qu’une grande finale dans ce registre est prévue dans deux jours.
L’événement a célébré les courts-métrages réalisés par des élèves issus de collèges pionniers répartis entre les douze régions du Royaume, dans le cadre d’un programme innovant alliant apprentissage et création cinématographique.
Dans ce contexte, le jury a salué la qualité cinématographique des productions présentées, soulignant l’originalité des scénarios, la pertinence de la mise en scène et l’engagement sincère des élèves sur des thématiques actuelles et sensibles telles que le harcèlement scolaire, l’immigration clandestine, la pauvreté ou encore les dynamiques sociales.
La finale nationale du concours "Cinéma en classe" marque l’aboutissement d’une phase régionale tenue du 19 avril au 13 mai, qui a mobilisé des milliers d’élèves à travers tout le Royaume.
Le projet "Madrastna" s’articule autour de deux modules complémentaires. Il s'agit du module "Cinéma", qui vise à développer chez les élèves le sens critique, la capacité d’analyse et la narration à travers la projection de films marocains et internationaux, ainsi que la réalisation de courts-métrages originaux.
Le module "Improvisation théâtrale", pour sa part, encourage le travail collaboratif, la spontanéité et l’expression orale et corporelle, dans un cadre ludique et structuré.
Ainsi, le Grand Prix du meilleur film a été attribué à "Réflexion rétractée" de la région de Rabat-Salé-Kénitra, tandis que le Prix de la meilleure réalisation est revenu à "Rêves reportés" (région de Laâyoune-Sakia El Hamra), alors que le Prix du meilleur scénario a récompensé "Conflit" (région de Dakhla Oued-Ed-dahab).
Le jury a également décerné une mention spéciale au court-métrage "Visiteur infiltré" de la région de Souss-Massa. Enfin, le Prix du public a été attribué à "La Renaissance", un film porté par la région de l’Oriental.
Dans une déclaration à la MAP, le réalisateur Nabil Ayouch, président du jury, a salué l’enthousiasme et l’engagement des jeunes participants, tout en soulignant l’importance de cette initiative, menée en partenariat avec le ministère de l’Education nationale, du Préscolaire et des Sports, ainsi que la Fondation Ali Zaoua.
Il a rappelé que ce programme a permis, tout au long de l’année scolaire, de sensibiliser les élèves à la lecture de l’image, à l’analyse filmique et à l’exercice de la pensée critique à travers le prisme du cinéma.
"Aujourd’hui, nous sommes réunis pour célébrer le cinéma avec la jeunesse marocaine. Il est essentiel de redonner aux jeunes le goût de voir des films dans leur intégralité, de les aider à comprendre le monde à travers une œuvre longue, loin des formats courts omniprésents sur les réseaux sociaux", a-t-il déclaré en marge de la cérémonie.
Selon lui, cette initiative a éveillé chez les élèves une véritable envie de créer et de s’exprimer, donnant naissance à un concours national dont les douze courts-métrages finalistes, réalisés par de jeunes talents marocains, ont révélé des regards uniques porteurs d’identités singulières.
M. Ayouch a, par ailleurs, annoncé la reconduction de cette expérience artistique et pédagogique à travers une nouvelle édition dédiée à l’improvisation théâtrale, précisant qu’une grande finale dans ce registre est prévue dans deux jours.
L’événement a célébré les courts-métrages réalisés par des élèves issus de collèges pionniers répartis entre les douze régions du Royaume, dans le cadre d’un programme innovant alliant apprentissage et création cinématographique.
Dans ce contexte, le jury a salué la qualité cinématographique des productions présentées, soulignant l’originalité des scénarios, la pertinence de la mise en scène et l’engagement sincère des élèves sur des thématiques actuelles et sensibles telles que le harcèlement scolaire, l’immigration clandestine, la pauvreté ou encore les dynamiques sociales.
La finale nationale du concours "Cinéma en classe" marque l’aboutissement d’une phase régionale tenue du 19 avril au 13 mai, qui a mobilisé des milliers d’élèves à travers tout le Royaume.
Le projet "Madrastna" s’articule autour de deux modules complémentaires. Il s'agit du module "Cinéma", qui vise à développer chez les élèves le sens critique, la capacité d’analyse et la narration à travers la projection de films marocains et internationaux, ainsi que la réalisation de courts-métrages originaux.
Le module "Improvisation théâtrale", pour sa part, encourage le travail collaboratif, la spontanéité et l’expression orale et corporelle, dans un cadre ludique et structuré.
Bouillon de culture
Festival
La 26ème édition du Festival international de luth de Tétouan se tiendra, du 29 au 31 mai, à l'initiative du ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication - Département de la culture.
Cette édition, organisée en partenariat avec la province, le conseil provincial et la commune de Tétouan, sous le thème "Lueurs de tolérance", intervient dans un contexte particulier marqué par la désignation de Tétouan comme capitale méditerranéenne de la culture et du dialogue pour 2026.
Selon un communiqué des organisateurs, cet événement se déroulera cette année dans plusieurs espaces culturels, en plus de la projection de ses activités sur un écran installé à la Place Moulay El Mehdi, notant que cette édition offre une somptueuse programmation mêlant spectacles, performances musicales et expériences artistiques, avec la participation d’artistes d’Australie, d’Egypte, de Bahreïn, de Chine, du Soudan, de Turquie, d’Espagne, de Syrie et du Maroc, qui feront vibrer le public de la Colombe blanche.
Cette manifestation sera marquée par des performances artistiques inédites et un hommage rendu aux maîtres du luth au Maroc, ainsi que la remise du prix Ziryab des virtuoses, une master class sur le luth chinois (Pipa) et le luth dans sa forme maroco-andalouse, et des lectures poétiques à Dar El Ghazouani, en coordination avec la Maison de la poésie de Tétouan.
Au programme figurent également des rencontres avec les stars de cette édition à la médina de Tétouan, reflétant l’authenticité de la ville et affirmant sa position en tant que centre de rayonnement culturel, de coexistence et de créativité.
La 26ème édition du Festival international de luth de Tétouan se tiendra, du 29 au 31 mai, à l'initiative du ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication - Département de la culture.
Cette édition, organisée en partenariat avec la province, le conseil provincial et la commune de Tétouan, sous le thème "Lueurs de tolérance", intervient dans un contexte particulier marqué par la désignation de Tétouan comme capitale méditerranéenne de la culture et du dialogue pour 2026.
Selon un communiqué des organisateurs, cet événement se déroulera cette année dans plusieurs espaces culturels, en plus de la projection de ses activités sur un écran installé à la Place Moulay El Mehdi, notant que cette édition offre une somptueuse programmation mêlant spectacles, performances musicales et expériences artistiques, avec la participation d’artistes d’Australie, d’Egypte, de Bahreïn, de Chine, du Soudan, de Turquie, d’Espagne, de Syrie et du Maroc, qui feront vibrer le public de la Colombe blanche.
Cette manifestation sera marquée par des performances artistiques inédites et un hommage rendu aux maîtres du luth au Maroc, ainsi que la remise du prix Ziryab des virtuoses, une master class sur le luth chinois (Pipa) et le luth dans sa forme maroco-andalouse, et des lectures poétiques à Dar El Ghazouani, en coordination avec la Maison de la poésie de Tétouan.
Au programme figurent également des rencontres avec les stars de cette édition à la médina de Tétouan, reflétant l’authenticité de la ville et affirmant sa position en tant que centre de rayonnement culturel, de coexistence et de créativité.