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Pas d’aboutissement mais un frémissement. La visite de Ban Ki-moon ne suffira pas à sortir de l’enlisement des négociations improductives depuis des mois, mais son entourage avait indiqué qu’il ne se rendrait sur place qu’à la condition que des progrès soient faits dans les négociations entre Chypriotes grecs au sud, et Chypriotes turcs au nord. Et cela semble être le cas. L’ONU parle de progrès significatifs.
La semaine dernière Demetris Christofias, pour le sud, et Mehmet Ali Talat, pour le nord, ont joué les prolongations, ils ont poursuivis au delà du terme prévu leurs négociations dans la zone tampon.
Il faut dire que temps presse. L’objectif reste de parvenir à un accord cette année, et surtout Mehmet Ali Talat suspendra toute discussion en février pour se consacrer à la campagne électorale en vue de l’élection présidentielle du mois d’avril. S’il la perd au profit des nationalistes, tous les efforts entrepris depuis 16 mois risquent de se voir réduit à néants.