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Camille (prénom d’emprunt), photographe de profession, raconte comment elle a été piégée, en août 2005, à l’occasion d’un reportage, en Algérie. Après qu’un complice lui a administré un sédatif à son insu, elle voit arriver deux femmes qui lui font une piqûre et tentent de la faire avorter. Elle perd beaucoup de sang mais, par miracle, l’entreprise a échoué.
« Avoir un enfant illégitime, c’était contraire à ma culture, ma religion, c’était la honte», a expliqué Cheb Mami dans le box. « J’étais dépassé par toute cette histoire folle. C’est contraire à mes principes, je n’arrive pas à l’expliquer, peut-être que j’étais sous influence. J’ai fait une faute, voilà ».
“Si dans un an, deux ans, dix ans, il souhaite demander pardon à sa fille, la porte sera ouverte et ma cliente espère que sa fille lui pardonnera”, a déclaré l’avocate de Camille, laissant la porte ouverte pour le bien de l’enfant. L’avocate de Cheb Mami est un peu déstabilisée quand un journaliste lui pose la question. “Cette question n’a pas à intervenir dans le cadre d’un débat public”, a-t-elle répondu.