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Si la pièce est un monodrame, Latefa Ahrrare insiste qu’il s’agit d’un travail inlassable de toute une équipe. En effet, l’interprétation nécessitait cette touche artistique de professionnels en chorégraphie, afin de laisser s’exprimer un corps pas toujours apte à ce genre inédit. La comédienne et réalisatrice de la pièce a fait appel à deux chorégraphes de renom, le Marocain résidant en France Khalid Benghrib et l’Iranien Sachar Zaref. Abdellah Baylout, artiste décorateur, meuble à chaque fois l’espace scénique avec des objets d’apparence insolite: un pot de miel, une orange, un combiné téléphonique suspendu, des souliers rouges, une burqa… Un cadre adéquat avec une lumière que Tarek Ribh fait varier entre le clair-obscur, la luminosité et l’obscurité. « Capharnaüm » est un voyage dans les dédales d’une cité antique, qui ne figure nulle part. Un voyage sans but, une quête de sens, une fouille dans l’absurde et la profondeur humaine, d’âmes refusant de mourir.








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