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Bruits de bottes à la frontière algéro-marocaine

L’ANP algérienne tire en direction du poste d’Aït Jormane


A.S.
Mercredi 19 Février 2014

Bruits de bottes à la frontière algéro-marocaine
Regain de tension à la frontière algéro-marocaine. Des éléments de l’Armée nationale populaire algérienne ont procédé, lundi vers 13h45, à des tirs en direction du poste de surveillance marocain Aït Jormane longeant le tracé frontalier entre le Maroc et l’Algérie, dans la province de Figuig, indique un communiqué du ministère de l’Intérieur. Deux impacts de balles ont atteint le mur de ce poste frontalier, précise le communiqué.
Cet incident, fort grave, a été passé hier sous silence tant par la presse que par les officiels algériens. 
Et pourtant, pareille agression est non seulement inqualifiable, mais elle constitue  au regard du droit international un motif de casus belli.
En ces temps où Alger ne cesse de jeter de l’huile sur le feu et où ses problèmes intérieurs l’obligent à chauffer à blanc ce dernier pour détourner les yeux de ses citoyens sur des questions aussi vitales que celle du maintien des privilèges de sa nomenklatura et celle du maintien de Bouteflika au pouvoir malgré son âge et sa maladie, des risques de dérapages pourraient marquer l’évolution de ses relations avec son environnement immédiat.
A preuve, son actuelle course aux armements et la bunkérisation de ses frontières tant avec le Maroc qu’avec la Tunisie.
«Des dizaines de milliers de militaires et de gendarmes ont été déplacés vers la frontière » avec ce dernier pays, selon le journal tunisien Echourouk pour contrer la menace que représentent «des centaines de terroristes arrivant de Syrie ».
Concernant le Maroc, le mouvement des troupes algériennes a été justifié par une soi-disant volonté de lutter contre la contrebande qui sévirait aux frontières. 
Il n’en demeure pas moins que ces décisions prennent leur sens véritable si elles sont jaugées à l’aune de la crise politique grave qui secoue Alger à la veille de l’élection présidentielle, conséquence de l’impasse dans laquelle se trouve le pouvoir dont la déliquescence a suivi la courbe descendante de l’état de santé de son premier tenant. Après des jours de confrontation entre différents clans du régime qui a éclaboussé gravement le grand patron des services de renseignement, certaines anciennes icônes du régime sont sorties de leur silence pour lancer des cris d’alarme qui illustrent la gravité de la crise qui mine le pouvoir et menace la stabilité même du pays qui traverse actuellement l’une des phases les plus délicates de son histoire. L’un d’entre eux, en l’occurrence Mouloud Hamrouche, a ainsi mis fin au silence qu’il a gardé depuis une quinzaine d’années pour prôner une «renégociation du contrat politique et social entre l’Etat et la société, jetant les fondements d’un Etat démocratique».
De fait, l’Algérie qui souffre d’un déficit patent de démocratie pourrait se lancer dans une politique du pire pour que ses classes dirigeantes gardent la main sur l’usufruit d’une économie de rente qu’ils ont érigée en système de gouvernance.
Est-ce pour cela qu’elle a permis à ses soldats de tirer sur un poste frontalier marocain et, partant, de risquer, par leur agression de mettre le feu aux poudres et d’initier une escalade militaire qui est pour le moins malvenue en ces jours où les peuples maghrébins fêtent le 25ème anniversaire de l’UMA et où 500 opérateurs économiques et institutionnels marocains, algériens, tunisiens, mauritaniens et libyens sont réunis à Marrakech pour tracer la feuille de route du développement de leurs échanges bilatéraux ? 
Quoi qu’il en soit, le Maroc qui a toujours fait preuve de sagesse, ne se fera pas prendre au piège de l’escalade. 
Pour faire pareillement, Alger doit donc lui présenter des excuses officielles pour cet incident regrettable tout en mettant aux arrêts de rigueur ses auteurs dans l’attente de les sanctionner comme il se devrait. 


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1.Posté par said le 19/02/2014 09:22
Le dénigrement dans la presse est laissé de côté. Le revirement de la position algérienne reste inexplicable pour le moment. Certains observateurs estiment que la maladie de Bouteflika et les affrontements au sommet de l’Etat entre les différents clans de l’Etat algérien a relégué momentanément le dossier du Sahara occidental.16/01/2014 - 13:01 mis a jour le 16/01/2014 - 13:59 par Saïd F.







Le conflit entre Alger et Rabat a connu un dénouement inattendu ces derniers mois. Les décideurs ont pris du recul par rapport au dossier du Sahara occidental. Les décideurs algériens ne parlent plus du mouvement du Polisario depuis un bon moment, ce qui a amélioré même un peu les relations entre ces deux pays frères.
Le dénigrement dans la presse est laissé de côté. Le revirement de la position algérienne reste inexplicable pour le moment. Certains observateurs estiment que la maladie de Bouteflika et les affrontements au sommet de l’Etat entre les différents clans de l’Etat algérien a relégué momentanément le dossier du Sahara occidental.
D’autres, par contre, affirment que les décideurs algériens ont peut-être compris qu’ils n’ont rien à gagner dans ce conflit et les dépenses faramineuses que leur coûte l’organisation du Polisario ont sensiblement affecté les caisses, surtout en période de crise économique.
L’autre explication du retrait d’Alger de ce dossier et du probable abandon de la milice et de l’organisation du Polisario, s’explique aussi par les victoires successives réalisées par le Maroc sur le plan diplomatique. En plus des puissances occidentales qui ont affirmé leur soutien indéfectible aux thèses Marocaines, même les pays connus pour leur fervent attachement à la cause Sahraouie ont fini par changer d’avis et de position. Le cas du retrait de l’Uruguay de sa reconnaissance du Sahara occidental dernier est l’exemple le plus édifiant.
Même l’organisation d’un referendum d’autodétermination au Sahara occidental sera défavorable pour le Polisario. La population des régions sud Marocaines, dont plus 80% sont des Amazighophones, sont contre le Polisario. Cette organisation a échoué d’ailleurs à provoquer un soulèvement armée à maintes reprises. Alger qui veut créer un émirat Arabe au Sud du Maroc pour bannir la langue Tamazight a, apparemment, échoué sur toute la ligne.
Saïd F.


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2.Posté par karim le 19/02/2014 09:35
Simple provocation de l ennemie jaloux de l armee algerienne,nous avons l habitude de leur haine a l encontre de notre pays digne ,respectueux et fier ,ce que n a pas le voisin.

3.Posté par abdelssalam le 19/02/2014 09:41
Kiosque360. Les provocations de l'armée algérienne envers le Maroc continuent. Le royaume exige des explications.
Juste après l'annonce des tirs de l'armée algérienne contre un poste frontalier marocain
, le Maroc a placé, lundi, en état d'alerte ses troupes tout au long de sa frontière proche de Figuig. Al Massae avance, dans son édition de ce mercredi 19 février, que "les Forces armées royales ont renforcé leur présence le long de la frontière marocaine qui est désormais placée sous le contrôle de l'armée à la place des forces auxiliaires qui étaient jusqu'ici responsables de ce secteur limitrophe de l'Algérie". Le journal donne la parole à l'expert marocain en matière de défense, Abderrahmane Mekkaoui, selon lequel "la possibilité de l'aggravation de la situation au niveau du front oriental pourrait mener vers un conflit armé en raison des provocations répétées de l'armée algérienne".

Al Ahdath Al Maghribiya, de son côté, relève que "l'armée algérienne est enragée ces derniers temps. Elle a multiplié des opérations contre les Marocains établis dans le voisinage". Et d'ajouter que les tirs de l'armée algérienne en direction du poste de surveillance marocain de Ait Jormane "intervient dans le sillage de précédentes opérations similaires commises par l'armée algérienne". "Il y a deux semaines, toujours selon ce quotidien, l'Algérie a imposé un blocus contre deux fonctionnaires marocains, alors qu'ils exécutaient des relevés topographiques sur le territoire national marocain". Le quotidien énumère "les causes de cette colère algérienne, citant notamment le succès diplomatique obtenu par le Maroc dans la région sahélo-saharienne, ajouté à l'accord stratégique signé entre les Etats-Unis et le royaume".

L'Algérie tente de détourner l'attention sur sa crise interne

Sur Assabah, Mohamed Benhamou, directeur du Centre marocain des études stratégiques, estime que "l'Algérie tente de détourner l'attention sur sa crise interne en créant des incidents artificiels avec le Maroc". Et d'ajouter "qu'à chaque fois que la situation se détériore en Algérie, les autorités de ce pays trouvent du mal à gérer des dossiers complexes et ne voit comme solution que de créer une tension avec son voisin".

Les frontières sont des espaces où souvent la sécurité est fragile. Mais de là à multiplier les provocations en tirant à balles réelles sur des gens et sur un poste frontalier d'un autre pays ne sont ni admises ni acceptées que ce soit par les lois internationales ou le bon voisinage. L'Algérie peut avancer à répétition qu'elle agit dans le cadre de la lutte contre la contrebande. Mais la lutte à ses règles. Elle se fait en coopération avec les deux pays et par des moyens civilisés. Le Maroc a le droit de rouspéter et de défendre ses citoyens. Dans cette région, il ne faut pas oublier que l'Algérie a usurpé les terres et exproprié les biens fonciers appartenant aux Figuiguis marocains. Elle doit leur restituer leurs terres. Ils n'oublieront jamais ce vol. De leurs maisons et à vue d'oeil, ils scrutent impuissants et à quelques mètres seulement de là leurs terres spoliées.
*

4.Posté par jamila le 19/02/2014 09:48
Le deplacement de notre roi au mali avec des patrons marocains ,la stabilite du maroc en afrique enrage l algerie .Des elections en algerie qui resemble a une mascarade ,pousse le pouvoir a la provocation avec le maroc,simplement pour detourner l opinion publique.

5.Posté par mimoun le 19/02/2014 09:56
L algerie a peur du maroc ,l armee algerienne est sur la defensive,bon point pour notre pays .le maroc repond intelligement par la diplomacie,l algerie repond avec ses moyens ,c est a dire pas grand chose,si ce n est avec mediocrite.

6.Posté par nora le 19/02/2014 10:00
Le maroc est trop grand pour eux,ils ne savent plus quoi faire devant le rouleau compresseur marocain..hhhhhhh

7.Posté par nabila le 19/02/2014 10:15
Présentation de l’ouvrage espagnol ‘Le Polisario, un front contre les droits de l'homme’Adam Sfali - Lemag | Mercredi 19 Février 2014
Madrid : L'écrivain et journaliste espagnol, Chema Gil présente à Madrid, mardi prochain, son nouvel ouvrage intitulé "Polisario : un frente contra los derechos humanos y la seguridad internacional" (Polisario: un front contre les droits de l'homme et la sécurité internationale).
Présentation de l’ouvrage espagnol ‘Le Polisario, un front contre les droits de l'homme’Dans ce nouvel ouvrage, Chema Gil, analyste et expert dans les relations maghrébines, passe en revue, dans une première partie, l'histoire du conflit au Sahara et évoque, dans la deuxième partie, les violations flagrantes des droits de l'Homme perpétrées par les dirigeants du Polisario depuis le début de ce différend, alors que dans la 3ème partie, l'auteur analyse des aspects de la sécurité internationale dans une région stratégique comme le Sahel et le Sahara. 

Le journaliste espagnol, qui avait déjà publié un livre intitulé "Lo que el Frente Polisario esconde" (Ce que cache le polisario) , veut à travers son nouvel ouvrage éclairer le public, notamment en Espagne, sur le véritable visage du Polisario et aider aussi les lecteurs à avoir une position claire à propos des séparatistes de Tindouf.
Chema Gil*Chema Gil*A noter que dans son ouvrage "Ce que cache le Polisario", Gil met à nu la politique propagandiste du polisario et de ses pratiques inhumaines dans les camps de Tindouf et met aussi en évidence les activités douteuses du polisario et l'implication de certains de ses éléments dans des activités terroristes au Sahel. 

Dans cet ouvrage, Gil livre aux lecteurs une conception claire du différend sur le Sahara marocain, à travers la présentation de "preuves concrètes et historiques qui démontrent l'appartenance du Sahara au Maroc" et les liens pérennes d'allégeance liant les habitants du Sahara aux souverains du Maroc. 

Pour l'écrivain espagnol, les dirigeants du polisario, une entité non démocratique, ne représentent ni le Sahara ni les Sahraouis, mais plutôt l'Algérie et ne prêtent aucune attention aux intérêts et aux conditions de vie des Sahraouis. "Leur souci majeur réside dans leurs propres intérêts", souligne-t-il.

Tags :Chema Gil
 Polisario
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Commentaires (0)

Lamamra à Moscou : Contre le Maroc, l'Algérie prône la voix de la sagesse
Larbi Amine - Lemag | 13/02/2014

8.Posté par malik le 19/02/2014 10:40
Le stress ,surement ,les pousse a agir de la sorte ,l article l expression d algerie d aujourd hui en dit long ; Accueil | Nationale
 |Alerte rouge!Par Ahmed FATTANI - Mercredi 19 Fevrier 2014 - Lu 3881 foisimage

La vie politique est impitoyable et cruelle! La présidentielle 2014 a mis le feu aux poudres par la faute d'un seul homme. Un seul. Parce qu'il a été intronisé patron du plus grand parti politique du pays, il a cru détenir un pouvoir morganatique pour s'acharner à briser la statue du Commandeur. Celle du puissant général Tewfik, à la tête du DRS, ce puissant appareil de renseignement que l'Algérie a mis des années à construire. Nos services ont subi, par la folie d'un homme, la pire attaque de toute leur existence.
Le Président Bouteflika, par sa sortie inattendue qu'il a faite hier, a remis la machine en ordre de marche. C'est un réquisitoire implacable qu'il a dressé contre les auteurs de cette ignominie dont l'Algérie se rappellera encore longtemps. Hier, Bouteflika, en sa qualité de chef suprême des armées, n'a pas laissé place au doute. Il a fait montre d'une intransigeance sans pareil contre ces nouveaux aventuriers de la République. «Toucher au DRS, c'est toucher à l'Algérie.» Voilà résumé le message présidentiel que tous les citoyens de ce pays attendaient depuis qu'un homme, intronisé chef de parti, s'est cru autorisé à franchir, sans coup férir, le Rubicon.
Le rappel à l'ordre présidentiel est venu sauver les meubles à quelques semaines seulement d'une échéance électorale capitale pour le pays, cela à un moment où le contexte régional est marqué par une dangereuse dégradation. Bouteflika a recadré sévèrement Saâdani après son festival de gracieusetés contre le DRS.
Qui a instillé le poison d'une «guerre» inventée entre deux hauts responsables dont la mission de chacun était de veiller, avant tout, à assurer la stabilité de la nation? Cette séquence mettant aux prises des hommes se targuant d'être proches de l'entourage présidentiel s'attaquant au chef du DRS, a pris fin. Et elle est morte de sa plus belle mort grâce à un homme: le Président Bouteflika. Il fallait vite éteindre les feux de la fitna et étouffer la cacophonie médiatique qu'on a accru à dessein pour enflammer toute la classe politique. 
Le message présidentiel, avouons-le, a fait l'effet d'un baume au coeur. Il a stoppé net les coups bas d'une mafia politico-financière qui a planifié une vraie OPA sur l'Algérie tout entière.
En expert averti, le Président a compris, et bien compris, que la «politique c'est parler aux gens». Il l'a fait avec brio et avec toute la conviction que l'on était en droit d'attendre de sa part. Le peuple lui sera redevable d'avoir pris toutes ses responsabilités pour enrayer une crise dont les effets menaçaient de devenir ravageurs pour l'avenir de la République et rompre avec cette ronde de soupçons et son climat délétère, surtout quand le problème en question concernait l'armée et ses généraux. Le général Tewfik a été pris pour cible et on l'a chargé de tous les péchés de l'Algérie. Pas par la majorité des Algériens, ni par la classe politique, ni par les médias qui, eux, ont blâmé l'auteur de propos inacceptables, faits sur mesure, à un site électronique dans le but évident de «casser la machine», ce bouclier de protection assurant la protection du pays. Saâdani a failli détruire la crédibilité de toute notre armée et de tous ses généraux, ouvrant ainsi la voie à toutes les aventures, possibles et imaginaires, mettant en péril notre souveraineté nationale. Saâdani est allé loin.
Trop loin. Il est grisé par ce qu'il croit être une conquête glorieuse en s'attaquant au général Tewfik, au DRS et à ses hommes, ce qui n'est en fait, et la réalité vient de le démontrer, qu'un trophée empaillé. Cet homme, derrière un discours de façade démocratique et de soi-disant construction d'un Etat civil, a monté de toutes pièces un complot imaginaire pour ensuite entraîner derrière lui une meute de couards dont l'unique gloriole est d'avoir amassé des fortunes leur promettant de s'emparer des manettes du pays.
Face au général Tewfik, impassible serviteur de l'Etat, cette fable du «putsch électoral» a fini par éclater comme un ballon de baudruche.
L'Algérie a frisé le drame. Elle en est sortie indemne. Mais l'alerte rouge demeure!

9.Posté par plékhanov le 19/02/2014 14:23
Tous les commentaires déjà validés s'accordent à mettre cette rage algérienne contre le Maroc sur le compte des problèmes algéro-algériens et sur les succès diplomatiques marocains.Ce sont des facteurs à prendre ,certes ,en concidération mais ils sont loin d'être décisifs,hélas...
Politiquement,nous avons affaire à un régime unique dans l'Histoire de la région,dernier vestige de l'école soviétique,un régime entretenu par des soldats sans foi ni loi ,qui vivent sur l'illusion de leur puissance militaire,des tueurs que seule la perspective d'une agression contre les voisins aident à vivre encore .
Tous les instituts d'études stratégiques convergent dans la conclusion de leurs multiples analyses en un point unique:l'Algérie attaquera l'un de ses voisins.Et à la lumière des provocations répétées par les gardes-frontières algériens et qui visent notre pays,le doute n'est plus permis.
Les généraux ,fidèles à la politique belliqueuse et ingrate du FLN, voient dans tout ce que réalise le Maroc un motif pour lui en vouloir;leur haine du Maroc est pathologique et il faut remonter dans l'Histoire pour en découvrir les mobiles.
Ils sont convaincus que le Maroc les a trahis à plusieurs reprises:Isly,enlèvement par les Français des quatre nationalistes dont l'agonisant Bouteflika,etc...et bien sûr ils ne rêvent que de vengeance.D'ailleurs pour ce faire,ils se sont donnés le temps et les moyens.
La jeunesse est embrigadée et croit dur comme fer que "leur révolution est menacée -par les voisins,naturellement.On lui a fourré dans le crâne que ces Marocains sont réduits à la mendicité et qu'ils meurent de faim comme le prétendait le criminel Boumédienne.
Même les appels à l'ouverture des frontières et les déplacements du roi dans les pays du golfe sont perçus comme étant des actes et gestes de quête d'aumône.
Nous avons affaire à des malades :Timoumi avait-il eu son ballon d'or? Eh bien c'était une injustice car ce ballon allait être donné à Madjer !...Ibn Atia a-t-il brillé dans son nouveau club italien?Il rêve de jouer le mondial avec l'Algérie...

et aucun déplacement du roi n'est perçu autrement qu'une démarche effectuée dans ce sens auprès des pays du golfe par exemple.

10.Posté par christophe votte le 30/05/2014 22:12 (depuis mobile)
Nous devons trouver ce qui nous rassemble et a partir de la que chacun d''''''''''''''''entre nous s''''''''''''''''évertue a dépasser nos contrariétés pour en parler et faire pour commencer des petits pas l '''''''''''''''' un Vers l''''''''''''''''autre afin d'''''''''''''''' aller par la suite plus loin dans ce sens etc.

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