Bouillon de culture


Libé
Vendredi 20 Juillet 2018

Harvey Weinstein 
et Ashley Judd
Les avocats d’Harvey Weinstein ont demandé le rejet de la plainte déposée en avril par l’actrice Ashley Judd, faisant état d’un pacte entre elle et le producteur déchu, qu’elle accuse d’avoir torpillé sa carrière pour avoir résisté à son harcèlement sexuel. La comédienne de 50 ans affirme dans sa plainte que l’ex-magnat de Hollywood, accusé par une centaine de femmes de harcèlement, agressions sexuelles ou viol, avait annihilé ses chances d’apparaître dans la trilogie au monumental succès “Le Seigneur des anneaux” en la décrivant auprès du réalisateur de l’épopée fantastique, Peter Jackson, comme “un cauchemar” sur les plateaux.  Dans la motion déposée mardi au tribunal de Los Angeles, les avocats du producteur inculpé pour viol et agressions sexuelles sur trois femmes et qui nie toutes ces accusations, rappellent que l’actrice avait fait état d’un “accord” passé avec le producteur dans une chambre d’hôtel. Elle aurait accepté qu’il “la touche à condition qu’elle gagne un Oscar dans l’un de ses films”. Il aurait “ensuite tenté de respecter sa part du marché en essayant de faire embaucher l’actrice dans autant de rôles possibles pour lui faire gagner” l’une de ces prestigieuses récompenses, notamment dans “Will Hunting” (1997) face à Matt Damon, un rôle finalement revenu à Monnie Driver, nommée aux Oscars.

Exposition

La scène culturelle marocaine est présente en force durant la 5e édition du congrès mondial des études sur le Moyen-Orient (WOCMES), organisée du 16 au 20 juillet à Séville. Plusieurs artistes marocains ont été invités par la Fondation Trois Cultures de la Méditerranée à faire découvrir aux participants à cette manifestation, les différentes expressions artistiques produites sous nos latitudes.
 A cette occasion, le ministre de la Culture et de la Communication, M. Mohamed El Aâraj, a inauguré, mardi, l’exposition “Flux, reflux et reflets instants tannés de lumière”, en présence du conseiller de SM le Roi et président délégué de la Fondation, André Azoulay. Fruit de l’inspiration de trois photographes marocains, Jaafar Akil, Thami Benkirane et Mohamed Mali, l’exposition immortalise des instants de la vie quotidienne au Maroc et les transformations que vit en ce moment le pays.
 


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