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“Il n’y a vraiment aucun endroit où se cacher”: c’est la leçon que tire Scarlett Johansson, actrice au sommet de sa gloire, des mouvements #MeToo et Time’s Up. “C’est plutôt choquant de voir les résultats de tout cela. C’est encore tout nouveau”. L’actrice multi-millionnaire, qui enchaîne les succès avec notamment son rôle vedette dans la série Avengers, s’est montrée confiante, lors d’une récente interview à New York, sur ces mouvements anti-harcèlement qui secouent l’industrie du cinéma depuis les révélations sur le producteur Harvey Weinstein.
“C’est impressionnant”, dit l’actrice aux élégantes pommettes et au teint de porcelaine. “Je suis dans l’industrie du cinéma depuis si longtemps, ces discussions sont vraiment importantes et révolutionnaires”.
A 33 ans, Scarlett Johansson a déjà plus de 20 ans d’expérience derrière elle. Elle fait partie des rares stars féminines dont les salaires n’ont rien à envier à ceux de leurs collègues masculins.
Koffi Olomidé
Le roi de la rumba congolaise ciblé par la justice: visé par un mandat d’arrêt, Koffi Olomidé est renvoyé en procès en France où il est accusé d’avoir agressé sexuellement et séquestré quatre de ses danseuses en région parisienne, entre 2002 et 2006.
Le chanteur de 61 ans a été renvoyé fin janvier en correctionnelle pour des faits qui se seraient déroulés notamment dans un pavillon d’Asnières-sur-Seine, près de Paris, que l’artiste louait et où il hébergeait ses danseuses en marge de concerts ou d’enregistrements en France.
Ses quatre victimes présumées ont toutes relaté avoir dû subir régulièrement des relations non consenties, que ce soit en République démocratique du Congo ou en tournée. Notamment en France, alors qu’elles étaient enfermées et gardées 24 heures sur 24 par trois hommes dans le pavillon d’Asnières, sans document d’identité ni téléphone. L’un de leurs gardes les conduisait à leur patron lorsque celui-ci en exprimait le désir.