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Catherine Deneuve
Catherine Deneuve justifie la signature d'une tribune sur la "liberté" des hommes "d'importuner" les femmes, publiée mardi en France dans le sillage de l'affaire Weinstein aux Etats-Unis, mais présente ses excuses aux victimes d'agression sexuelle, dans un texte publié dimanche soir sur le site du quotidien Libération.
"Je salue fraternellement toutes les victimes d'actes odieux qui ont pu se sentir agressées par cette tribune parue dans Le Monde, c'est à elles et à elles seules que je présente mes excuses", écrit l'actrice française.
Margaret Atwood
La romancière canadienne Margaret Atwood, malmenée pour son manque d'empathie avec les femmes victimes d'inconduites sexuelles, a passé son dimanche à expliquer les raisons d'une chronique où elle argumentait que le mouvement #Metoo est le reflet d'une justice qui ne fonctionne pas. "Le mouvement #Metoo est le symptôme d'un système judiciaire cassé", a-t-elle écrit dans une tribune titrée "Suis-je une mauvaise féministe" et publiée dans le quotidien Globe and Mail samedi. "Trop souvent, les femmes et les autres victimes d'abus sexuels faute d'obtenir une audience juste des institutions, y compris les entreprises, utilisent un nouvel outil: Internet", poursuit-elle. Les réactions ont alors déferlé, plus souvent à charge que pour soutenir la romancière dont l'adaptation de son ouvrage le plus connu, "La Servante écarlate" (titre original: "The Handmaid's Tale") a été couronnée aux derniers Emmy Awards en septembre.
Catherine Deneuve justifie la signature d'une tribune sur la "liberté" des hommes "d'importuner" les femmes, publiée mardi en France dans le sillage de l'affaire Weinstein aux Etats-Unis, mais présente ses excuses aux victimes d'agression sexuelle, dans un texte publié dimanche soir sur le site du quotidien Libération.
"Je salue fraternellement toutes les victimes d'actes odieux qui ont pu se sentir agressées par cette tribune parue dans Le Monde, c'est à elles et à elles seules que je présente mes excuses", écrit l'actrice française.
Margaret Atwood
La romancière canadienne Margaret Atwood, malmenée pour son manque d'empathie avec les femmes victimes d'inconduites sexuelles, a passé son dimanche à expliquer les raisons d'une chronique où elle argumentait que le mouvement #Metoo est le reflet d'une justice qui ne fonctionne pas. "Le mouvement #Metoo est le symptôme d'un système judiciaire cassé", a-t-elle écrit dans une tribune titrée "Suis-je une mauvaise féministe" et publiée dans le quotidien Globe and Mail samedi. "Trop souvent, les femmes et les autres victimes d'abus sexuels faute d'obtenir une audience juste des institutions, y compris les entreprises, utilisent un nouvel outil: Internet", poursuit-elle. Les réactions ont alors déferlé, plus souvent à charge que pour soutenir la romancière dont l'adaptation de son ouvrage le plus connu, "La Servante écarlate" (titre original: "The Handmaid's Tale") a été couronnée aux derniers Emmy Awards en septembre.