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Prix
Le 12è Prix international Argana de poésie au titre de l'année 2017 a été décerné au poète touareg Mohamadine Khawad, annonce la Maison de la poésie au Maroc.
Khawad s’est vu attribuer cette prestigieuse distinction "en reconnaissance du souci constant de ses poèmes, depuis quatre décennies, à préserver la connaissance dont ils se nourrissent et à faire du nomadisme un espace poétique et intellectuel pour la production du sens et le renouvellement de la vision vers soi et vers le monde", selon la même source.
Né en 1950 dans la région de l’Aïr, au Niger, le poète touareg vit actuellement en France où il a publié une série de poèmes et d’œuvres littéraires, traduits dans leur quasi-totalité dans plusieurs langues, dont "Testament nomade", traduit en arabe par le grand poète Adonis.
Le Prix international Argana de poésie est décerné en partenariat avec la Fondation Caisse de dépôt et de gestion (CDG) et en coopération avec le ministère de la Culture et de la communication. Le jury de cette année était présidé par le poète libanais Issa Makhlouf et composé des critiques Sanae Ghouati, Abderrahmane Tankoul et Khalid Belkassem et des poètes Najib Khedari, Morad Kadiri, Abdeslam Moussaoui, Mounir Serhani et Hassan Nejmi, secrétaire général de ce prix.
Vernissage
Le vernissage de l’exposition ‘’Fragments’’ de l’artiste Anissa Tber a eu lieu, vendredi soir à la galerie Mohamed El Kassimi à Fès, à l’initiative de la direction régionale de la culture.
C’est la première exposition de cette artiste autodidacte, médecin de profession. Plus de 80 tableaux de différents formats et styles resteront ainsi accrochés sur les cimaises de la magnifique galerie El Kassimi durant une dizaine de jours.
‘’Je suis fière d’inaugurer ma première exposition à Fès, où je suis née et j’ai grandi, et plus particulièrement dans la galerie du célèbre peintre feu Mohamed El Kassimi’’, a confié à la MAP l’artiste qui dit adorer dessiner depuis son plus jeune âge.
Selon Anissa Tber, c’est l’art qui est venu à elle. ‘’J’ai toujours adoré le dessin depuis mon enfance et je suis restée dans cette optique. Après mes études de médecine, j’ai repris la peinture avec beaucoup d’énergie’’, a-t-elle expliqué. N’osant pas parler de thème pour son travail artistique, elle a décidé d’intituler son exposition : Fragments. ‘’Il s’agit de fragments de vie, d’époques, de styles et d’émotions, dans la mesure où je peins ce que j’aime sans idée précise ni chemin défini d’avance. Quand quelque chose m’émeut, je le peins’’, a-t-elle relevé.
Le 12è Prix international Argana de poésie au titre de l'année 2017 a été décerné au poète touareg Mohamadine Khawad, annonce la Maison de la poésie au Maroc.
Khawad s’est vu attribuer cette prestigieuse distinction "en reconnaissance du souci constant de ses poèmes, depuis quatre décennies, à préserver la connaissance dont ils se nourrissent et à faire du nomadisme un espace poétique et intellectuel pour la production du sens et le renouvellement de la vision vers soi et vers le monde", selon la même source.
Né en 1950 dans la région de l’Aïr, au Niger, le poète touareg vit actuellement en France où il a publié une série de poèmes et d’œuvres littéraires, traduits dans leur quasi-totalité dans plusieurs langues, dont "Testament nomade", traduit en arabe par le grand poète Adonis.
Le Prix international Argana de poésie est décerné en partenariat avec la Fondation Caisse de dépôt et de gestion (CDG) et en coopération avec le ministère de la Culture et de la communication. Le jury de cette année était présidé par le poète libanais Issa Makhlouf et composé des critiques Sanae Ghouati, Abderrahmane Tankoul et Khalid Belkassem et des poètes Najib Khedari, Morad Kadiri, Abdeslam Moussaoui, Mounir Serhani et Hassan Nejmi, secrétaire général de ce prix.
Vernissage
Le vernissage de l’exposition ‘’Fragments’’ de l’artiste Anissa Tber a eu lieu, vendredi soir à la galerie Mohamed El Kassimi à Fès, à l’initiative de la direction régionale de la culture.
C’est la première exposition de cette artiste autodidacte, médecin de profession. Plus de 80 tableaux de différents formats et styles resteront ainsi accrochés sur les cimaises de la magnifique galerie El Kassimi durant une dizaine de jours.
‘’Je suis fière d’inaugurer ma première exposition à Fès, où je suis née et j’ai grandi, et plus particulièrement dans la galerie du célèbre peintre feu Mohamed El Kassimi’’, a confié à la MAP l’artiste qui dit adorer dessiner depuis son plus jeune âge.
Selon Anissa Tber, c’est l’art qui est venu à elle. ‘’J’ai toujours adoré le dessin depuis mon enfance et je suis restée dans cette optique. Après mes études de médecine, j’ai repris la peinture avec beaucoup d’énergie’’, a-t-elle expliqué. N’osant pas parler de thème pour son travail artistique, elle a décidé d’intituler son exposition : Fragments. ‘’Il s’agit de fragments de vie, d’époques, de styles et d’émotions, dans la mesure où je peins ce que j’aime sans idée précise ni chemin défini d’avance. Quand quelque chose m’émeut, je le peins’’, a-t-elle relevé.