-
La Fondation nationale des musées rend hommage au professeur d'anthropologie Ali Amahan
-
Larache s’apprête à accueillir le Festival international Entrerritimos
-
Vol de bijoux au Louvre: Les cambrioleurs traqués, le musée sous pression
-
17ᵉ Festival soufi de Fès : Dialogue des arts entre l’Espagne et le Maroc en ouverture
"Découvrir le Japon à travers les courts-métrages" est le thème d’une conférence-projection qui aura lieu, jeudi à l'Ecole supérieure des arts visuels (ESAV) de Marrakech, à l'initiative de l'ambassade du Japon au Maroc. Organisée à l'occasion de la 6ème édition de la Biennale de Marrakech (MB) et du 60ème anniversaire de l'établissement des relations diplomatiques entre le Maroc et le Japon, cette projection-débat sera animée par Seigo Tono, directeur du Shorts Shorts film festival and Asia (SSFFA).
Dans le cadre de la MB, le film japonais "Swing Girls" (1h45 min) du réalisateur Shinobu Yaguchi, sera projeté vendredi à l'ESAV de Marrakech.
Rencontre
Une rencontre autour des représentations du «handicap» dans la littérature marocaine sera organisée jeudi 10 mars courant à l’amphithéâtre de l'Ecole de gouvernance et d’économie de Rabat. Cette rencontre qui sera animée par Jean Zaganiaris, enseignant chercheur au CRESC/EGE Rabat connaîtra la participation de Bouchra Amraoui, chargée des droits des personnes en situation de handicap au CNDH, Jad Benhamdane, auteur de «Ma vie en marche», Reem Laghrari Benmehrez, auteure de «Ordonnances et confidences, au comptoir de la pharmacienne» et Yasmine Berraoui, étudiante à l’EGE Rabat. L’objectif étant d’interroger le terme « handicap » à partir de la littérature, en rompant avec les réductionnismes misérabilistes ou les conceptions strictement pathologiques des personnes à besoins spécifiques. Les représentations littéraires conçoivent des univers sociaux oscillant entre l’imaginaire et la réalité. Elles possèdent ce pouvoir de ré-enchanter le monde en restituant la magie des émotions ou en redéfinissant le sens de certaines situations. A partir de la parole d’un certain nombre d’acteurs, il s’agit de penser le « handicap » en le situant dans ce monde commun que nous partageons tous.









La Fondation nationale des musées rend hommage au professeur d'anthropologie Ali Amahan
