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"Mahmoud Darwich, plus de roses" est l'intitulé d'une exposition des artistes peintres Aziz Azrhai, Fouad Chardoudi et Abdellah El Haitout initiée en hommage au grand poète palestinien, et dont le vernissage s'est déroulé mercredi dans l'espace Expressions CDG à Rabat. Organisée par la Fondation CDG en collaboration avec la Maison de la poésie au Maroc, l'exposition qui se poursuivra jusqu'au 12 janvier 2019 est un hommage dédié à l'âme de Darwich à travers lequel trois artistes marocains commémorent son influence poétique par leurs moyens d'expression qu'ils pratiquent, à savoir la peinture. C'est le fruit d'une résidence artistique organisée par les trois artistes poètes pendant dix jours, donnant lieu à des œuvres reflétant des visions diverses et plurielles portées sur Mahmoud Darwich et sur son impact poétique sur leur goût créatif, souligne la directrice générale de la Fondation CDG, Dina Naciri, dans le livre réalisé à l'occasion de cette exposition-hommage. Approché par la MAP, l'artiste Aziz Azrhai a relevé qu'il s'agit de commémorer les dix ans de la disparition de cette figure de la poésie et grande voix de la littérature arabe dans l'objectif de s'approcher de son œuvre poétique.
Abdelhay Demnati
L'artiste peintre Abdelhay Demnati exposera, du 13 décembre au 13 janvier prochain à Casablanca, ses œuvres sous le thème ''De la mémoire en miniature’’. Cette exposition, dont le vernissage aura lieu le 13 décembre, se profile, selon ses organisateurs, comme ‘’un voyage décoiffant dans l'univers pictural de cet artiste fassi ancré dans la tradition islamique’’. Ses toiles traitent notamment des rites féminins intimistes au sein des riads, festivités, processions, souks et cafés populaires, halkas, promenades, ruelles, et apprentissages au sein de la Karaouiyine. Les compositions de ce plasticien, natif de Fès en 1962, témoignent de ‘’sa volonté constante d'exprimer dans un langage purement architectural ou décoratif les replis de la sensibilité, la contemplation, l'extase, que se trouvent la signification esthétique de cet art et sa valeur humaine, non dans un pittoresque brillant, parfois facile, que le romantisme et le naturalisme ont trop souvent fait passer pour l'âme de son art’’, ont-ils souligné dans un communiqué.