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En attendant, et afin que l’examen se déroule dans les meilleures conditions possibles, le ministère de l’Education nationale a annoncé plusieurs nouvelles mesures. Il s’est attelé ainsi à instaurer des critères unifiés à tout le territoire national, pour égaliser les chances de réussite et d’intégration aux écoles supérieures. Dans ce sens, le ministère a modifié les cahiers des procédures de l’organisation des examens pour obtenir le diplôme tant espéré, et ce à la lumière des résultats des évaluations totales des expériences des années précédentes. Il a veillé également à affiner les critères de correction en diminuant le risque d’erreurs ou d’omissions et donner le droit à la commission y afférente de constater le plagiat en comparant des copies similaires. Plus encore, le ministère a décidé de plafonner à 20 le nombre de candidats par salle lors de cette session. Des mesures visant à combattre la tricherie consolidées par le projet de loi approuvé par le Conseil du gouvernement et qui sera soumis ultérieurement au Parlement.
Avec toutes ces mesures renforcées, les risques de fraude seront-ils minimisés ? Selon les sources du ministère, 3.112 cas de fraude ont été enregistrés lors de la session de juin 2012. Un chiffre préoccupant surtout quand on sait que 2.480 cas de fraude ont été recensés pendant les examens et que le reste, soit 632 autres cas, ont été découverts lors de la correction des copies. Cela signifie que l’honnêteté n’est pas le fort de tous les enseignants correcteurs. Dans un souci de dissuasion et de sensibilisation, le ministère est allé même jusqu’à publier la liste des fraudeurs. Gare à la tricherie ! Il vaut mieux rater un examen que toute une vie.