Autres articles
-
Clôture à Agadir du 2ème Festival national des jeunes chorégraphes
-
Installations immersives, IA et art génératif au programme de la 31ème édition du FIAV
-
Tomber de rideau sur le 1er Festival international des cultures de Casablanca
-
La Fondation nationale des musées rend hommage au professeur d'anthropologie Ali Amahan
Ayoka est un mot issu de la Côte d’Ivoire qui signifie « je vais bien ».
La musique d’Ayoka, labellisée « Afro-pop » fait rencontrer l’afro-beat, la pop, les musiques métissées et bien entendu le jazz afro-caraibéen.
Ambassadrice du son « Paris-Afrique-Antilles », elle chante toutes les langues, du Yacouba au créole et entraîne son public dans une vague d’énergie, de danse et de vie. Avec Jocelyn Mienniel (flûte, chœur), Lisa Cat-Berro (saxophone, chœur), Cécile Ndébi (chant), Réda Samba (batterie), Hailé (guitare électrique) et Daniel Ventadour (basse électrique, chœur).
La musique d’Ayoka, labellisée « Afro-pop » fait rencontrer l’afro-beat, la pop, les musiques métissées et bien entendu le jazz afro-caraibéen.
Ambassadrice du son « Paris-Afrique-Antilles », elle chante toutes les langues, du Yacouba au créole et entraîne son public dans une vague d’énergie, de danse et de vie. Avec Jocelyn Mienniel (flûte, chœur), Lisa Cat-Berro (saxophone, chœur), Cécile Ndébi (chant), Réda Samba (batterie), Hailé (guitare électrique) et Daniel Ventadour (basse électrique, chœur).
Augmenter la taille du texte
Diminuer la taille du texte
Partager
Clôture à Agadir du 2ème Festival national des jeunes chorégraphes
