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Invitée par l’historien, critique d’art et galeriste à New York, Chris Carlaw, propriétaire de Parallaxaf, The international artiste fair, Halima Doua a accroché, trois jours durant (du 3 au 5 août courant) ses œuvres d’art, aux cimaises de cette galerie internationale, aux côtés de plusieurs autres artistes peintres, venus des quatre coins du monde.
Avant ce périple nord-américain, Halima Doua avait exposé ses toiles du 6 au 20 juillet 2012, à la Bibliothèque nationale à Rabat, sous le signe «Regards hypothétiques». Un moment de contemplation pour les férus de la toile et de la spatule, d’un monde inspiré de l’imagination de l’artiste, mais qui frôle la réalité existentielle de la nature dans toutes ses couleurs.
Les couleurs vives, symbole de générosité et de rigueur, constituent une symbiose de deux mondes qui se ressemblent dans le fond, mais dissociables sur la toile. Les bâtiments de Halima sont des poutres de cristal, des aquariums en verre ou même des morceaux de pics montagneux fissurés par une secousse tellurique, des rivières en lave rouge brique qui coulent en cascades de hauts ravins, des grottes, des bidonvilles, des eaux usées, des orages et parfois des silhouettes qui donnent la vie aux tableaux.
Native de Rabat, paysagiste de métier, artiste peintre de vocation, Halima Doua jouit d’une grande renommée. Ses expositions attirent initiés et amateurs. Elle a exposé au Maroc et dans les galeries les plus prestigieuses d’Europe.
Avant ce périple nord-américain, Halima Doua avait exposé ses toiles du 6 au 20 juillet 2012, à la Bibliothèque nationale à Rabat, sous le signe «Regards hypothétiques». Un moment de contemplation pour les férus de la toile et de la spatule, d’un monde inspiré de l’imagination de l’artiste, mais qui frôle la réalité existentielle de la nature dans toutes ses couleurs.
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