Autres articles
-
Ligue des champions. Le Real Madrid se relance mais s'inquiète pour Mbappé
-
Gonçalo Ramos brise la malédiction du PSG
-
Sans suspense, la Fifa va attribuer aujourd’hui les Coupes du monde 2030 et 2034
-
Chelsea se pose en candidat au titre
-
Mbappé sort du silence et affirme ne pas être concerné par les accusations de viol en Suède
Liverpool a franchi l'obstacle Brighton (2-1) à Anfield pour reprendre les commandes de la Premier League aux dépens d'Arsenal, dominé mais capable de résister à Manchester City (0-0) sur la pelouse des triples champions en titre.
Au classement, Arsenal a reculé d'un cran pour prendre la deuxième place, à deux points du nouveau leader Liverpool, mais les "Gunners" ont maintenu intact leur rêve de titre malgré la pression de l'Etihad.
La saison dernière, les Londoniens avaient glissé 4-1 dans l'antre mancunienne, en avril, un symbole de leur déclin à venir dans la dernière ligne droite.
Ils ont certes fait le dos rond, avec 28% de possession du ballon, mais ils ont concédé un seul tir cadré face à l'armada d'Erling Haaland, le géant norvégien bien muselé par William Saliba, "homme du match".
"Nous ne pouvons pas être satisfaits après un match nul, mais c'est ok. Nous avons appris que dans les matches difficiles, quand vous ne pouvez pas gagner, il ne faut pas perdre", a commenté le défenseur français sur Sky Sports.
Son entraîneur, Mikel Arteta, reste de surcroît invaincu cette saison face à son ancien mentor Pep Guardiola, qu'il a battu au Community Shield en août, puis en championnat à l'aller en octobre.
"Nous avons fait un grand pas en avant aujourd'hui", a commenté le technicien espagnol auprès de la BBC. "La façon dont nous nous sommes battus individuellement et collectivement a été phénoménale", a-t-il dit.
Dans le camp d'en face, les Mancuniens n'ont pas produit les étincelles habituelles, éteintes par la défense de fer et le pressing assez haut des visiteurs. Ils n'ont cadré qu'un seul tir...
Arsenal peut se targuer d'en avoir deux, dont l'un signé Leandro Trossard qui a fait chauffer les gants de Stefan Ortega en fin de partie (86e).
Après avoir affronté Liverpool (1-1) avant la trêve internationale, Manchester City reçoit le dernier membre du Top 4, Aston Villa, mercredi, tandis qu'Arsenal accueillera Luton, premier relégable.
Pour le titre, "nous ne sommes plus les favoris", en tout cas "cela ne dépend plus de nous-mêmes", a constaté Bernardo Silva, même si "beaucoup de choses peuvent se passer" d'ici la fin de saison.
En début d'après-midi, les "Reds" avaient mis la pression sur leurs voisins de podium avec une victoire à réaction, mais méritée, contre une équipe de Brighton (2-1) bien contenue à Anfield.
L'équipe de Jürgen Klopp a pressé constamment celle de Roberto de Zerbi, un de ses successeurs potentiels sur le banc de Liverpool en fin de saison, dans une rencontre à quasi sens unique.
Brighton, neuvième au classement, a perdu la bataille de la possession, pourtant sa spécialité, et n'a cadré que trois fois durant tout le match.
Néanmoins, la première tentative est survenue quatre-vingt sept secondes après le coup d'envoi et elle a fait mouche, armée avec puissance par Danny Welbeck (2e, 0-1).
Les "Seagulls" ont pris la marée par la suite avec des vagues d'attaque incessantes à écoper. Ils ont fini par craquer après un corner bonifié par Luis Diaz (27e, 1-1) après une remise de la tête signée Mohamed Salah.
Porté par ses supporters, Liverpool a continué d'étouffer son adversaire grâce notamment à l'activité d'Alexis Mac Allister, milieu arrivé cet été de Brighton.
C'est l'Argentin qui, d'une passe délicieuse entre deux joueurs, a servi Salah (65e, 2-1) sur le seizième but de l'Egyptien cette saison en championnat.
"J'aurais aimé ne pas être mené 1-0, j'aurais aimé gagner 4 ou 5-0 mais c'est le meilleur match qu'on ait joué contre le Brighton de De Zerbi", a commenté Klopp auprès de la BBC. "C'est le premier des dix derniers (matches du championnat), il faut continuer".
Liverpool retrouve Anfield jeudi pour la réception de la lanterne rouge Sheffield United, trois jours avant un court mais périlleux déplacement chez Manchester United.
Au classement, Arsenal a reculé d'un cran pour prendre la deuxième place, à deux points du nouveau leader Liverpool, mais les "Gunners" ont maintenu intact leur rêve de titre malgré la pression de l'Etihad.
La saison dernière, les Londoniens avaient glissé 4-1 dans l'antre mancunienne, en avril, un symbole de leur déclin à venir dans la dernière ligne droite.
Ils ont certes fait le dos rond, avec 28% de possession du ballon, mais ils ont concédé un seul tir cadré face à l'armada d'Erling Haaland, le géant norvégien bien muselé par William Saliba, "homme du match".
"Nous ne pouvons pas être satisfaits après un match nul, mais c'est ok. Nous avons appris que dans les matches difficiles, quand vous ne pouvez pas gagner, il ne faut pas perdre", a commenté le défenseur français sur Sky Sports.
Son entraîneur, Mikel Arteta, reste de surcroît invaincu cette saison face à son ancien mentor Pep Guardiola, qu'il a battu au Community Shield en août, puis en championnat à l'aller en octobre.
"Nous avons fait un grand pas en avant aujourd'hui", a commenté le technicien espagnol auprès de la BBC. "La façon dont nous nous sommes battus individuellement et collectivement a été phénoménale", a-t-il dit.
Dans le camp d'en face, les Mancuniens n'ont pas produit les étincelles habituelles, éteintes par la défense de fer et le pressing assez haut des visiteurs. Ils n'ont cadré qu'un seul tir...
Arsenal peut se targuer d'en avoir deux, dont l'un signé Leandro Trossard qui a fait chauffer les gants de Stefan Ortega en fin de partie (86e).
Après avoir affronté Liverpool (1-1) avant la trêve internationale, Manchester City reçoit le dernier membre du Top 4, Aston Villa, mercredi, tandis qu'Arsenal accueillera Luton, premier relégable.
Pour le titre, "nous ne sommes plus les favoris", en tout cas "cela ne dépend plus de nous-mêmes", a constaté Bernardo Silva, même si "beaucoup de choses peuvent se passer" d'ici la fin de saison.
En début d'après-midi, les "Reds" avaient mis la pression sur leurs voisins de podium avec une victoire à réaction, mais méritée, contre une équipe de Brighton (2-1) bien contenue à Anfield.
L'équipe de Jürgen Klopp a pressé constamment celle de Roberto de Zerbi, un de ses successeurs potentiels sur le banc de Liverpool en fin de saison, dans une rencontre à quasi sens unique.
Brighton, neuvième au classement, a perdu la bataille de la possession, pourtant sa spécialité, et n'a cadré que trois fois durant tout le match.
Néanmoins, la première tentative est survenue quatre-vingt sept secondes après le coup d'envoi et elle a fait mouche, armée avec puissance par Danny Welbeck (2e, 0-1).
Les "Seagulls" ont pris la marée par la suite avec des vagues d'attaque incessantes à écoper. Ils ont fini par craquer après un corner bonifié par Luis Diaz (27e, 1-1) après une remise de la tête signée Mohamed Salah.
Porté par ses supporters, Liverpool a continué d'étouffer son adversaire grâce notamment à l'activité d'Alexis Mac Allister, milieu arrivé cet été de Brighton.
C'est l'Argentin qui, d'une passe délicieuse entre deux joueurs, a servi Salah (65e, 2-1) sur le seizième but de l'Egyptien cette saison en championnat.
"J'aurais aimé ne pas être mené 1-0, j'aurais aimé gagner 4 ou 5-0 mais c'est le meilleur match qu'on ait joué contre le Brighton de De Zerbi", a commenté Klopp auprès de la BBC. "C'est le premier des dix derniers (matches du championnat), il faut continuer".
Liverpool retrouve Anfield jeudi pour la réception de la lanterne rouge Sheffield United, trois jours avant un court mais périlleux déplacement chez Manchester United.