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Le court-métrage ‘’Ales’’ de Faiçal Ben a remporté, jeudi soir à Fès, le Grand prix de la 7ème édition des Journées de la communication cinématographique. Le jury a décerné le prix du meilleur réalisateur à Mohamed El Houri pour son court-métrage ‘’Exécution d’un mort’’. Le prix du meilleur scénario est revenu à Rachid Zaki pour son œuvre ‘’Scénario’’. Le jury a été présidé par le réalisateur Hamid Bennani et composé de l’artiste Malek Akhmiss, de chercheur et cinéaste Mohamed Taouss, de l’enseignant chercheur, Hassan Ahjij et de l’enseignante d'art Nadia Berchid. Ces 7èmes Journées de la communication cinématographique (25-27 décembre) ont été marquées par un hommage rendu à la célèbre actrice marocaine Naima El Mcherki pour sa grande contribution à l’enrichissement de la scène artistique marocaine.
Initiée par l’Association ‘’Jeunes talents du cinéma et du théâtre’’, cette manifestation se veut un espace d’échange entre les différentes générations d’artistes et une occasion de promouvoir la culture du cinéma, à travers notamment la redynamisation des cinéclubs.
Trois jours durant, les cinéphiles de la capitale spirituelle du Royaume ont pu assister à des projections de films hors-compétition et participer à des ateliers. Il est, par ailleurs, à noter qu’une rencontre a été organisée dans le cadre de ces Journées de la communication cinématographique sous le thème ’Le cinéma marocain entre critiques et attentes du public’’. Les intervenants ont soulevé une série de questions liées notamment à la relation entre cinéma et critique, l’écho des films auprès du grand public et de l’élite, ainsi que la situation de la critique cinématographique au Maroc. Pour le professeur Moncef Lkadiri, l’intérêt suscité par un film n’est pas toujours le même auprès du spectateur et du critique, ajoutant qu’au cinéma, il faut distinguer entre deux tendances de créateurs, à savoir celle qui cible un large public et une autre destinée à l’élite, notamment les critiques (cinéma d'auteur).
Quant au chercheur de cinéma et scénariste, Mohamed Taouss, il a estimé qu’’’il n’y a pas une différence entre critique et spectateur au Maroc’’, ajoutant que le critique marocain se limite généralement à exprimer ‘’de simples impressions’’ sans procéder à une analyse minutieuse des différents aspects du film.
‘’La distance entre critique et spectateur n’existe pas au Maroc’’, a souligné M. Taouss, qui est membre du jury des 7èmes Journées de la communication cinématographique. En marge de cette rencontre, il a été procédé à la dédicace de l'ouvrage ‘’Cinéma mondial : films et réalisateurs’’ du critique de cinéma Abdelkarim Ouakrim.
Douze courts métrages marocains participaient à la compétition officielle de la 7ème édition de ce Festival initié par l’Association ‘’Jeunes talents du cinéma et du théâtre’’, et qui se veut un espace d’échange entre les différentes générations d’artistes et une occasion de promouvoir la culture du cinéma, à travers notamment la redynamisation des cinéclubs.
Initiée par l’Association ‘’Jeunes talents du cinéma et du théâtre’’, cette manifestation se veut un espace d’échange entre les différentes générations d’artistes et une occasion de promouvoir la culture du cinéma, à travers notamment la redynamisation des cinéclubs.
Trois jours durant, les cinéphiles de la capitale spirituelle du Royaume ont pu assister à des projections de films hors-compétition et participer à des ateliers. Il est, par ailleurs, à noter qu’une rencontre a été organisée dans le cadre de ces Journées de la communication cinématographique sous le thème ’Le cinéma marocain entre critiques et attentes du public’’. Les intervenants ont soulevé une série de questions liées notamment à la relation entre cinéma et critique, l’écho des films auprès du grand public et de l’élite, ainsi que la situation de la critique cinématographique au Maroc. Pour le professeur Moncef Lkadiri, l’intérêt suscité par un film n’est pas toujours le même auprès du spectateur et du critique, ajoutant qu’au cinéma, il faut distinguer entre deux tendances de créateurs, à savoir celle qui cible un large public et une autre destinée à l’élite, notamment les critiques (cinéma d'auteur).
Quant au chercheur de cinéma et scénariste, Mohamed Taouss, il a estimé qu’’’il n’y a pas une différence entre critique et spectateur au Maroc’’, ajoutant que le critique marocain se limite généralement à exprimer ‘’de simples impressions’’ sans procéder à une analyse minutieuse des différents aspects du film.
‘’La distance entre critique et spectateur n’existe pas au Maroc’’, a souligné M. Taouss, qui est membre du jury des 7èmes Journées de la communication cinématographique. En marge de cette rencontre, il a été procédé à la dédicace de l'ouvrage ‘’Cinéma mondial : films et réalisateurs’’ du critique de cinéma Abdelkarim Ouakrim.
Douze courts métrages marocains participaient à la compétition officielle de la 7ème édition de ce Festival initié par l’Association ‘’Jeunes talents du cinéma et du théâtre’’, et qui se veut un espace d’échange entre les différentes générations d’artistes et une occasion de promouvoir la culture du cinéma, à travers notamment la redynamisation des cinéclubs.