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Interrogé sur les raisons de son absence lors de cette session, Abdelilah Fassi Fihri, conseiller USFP, a déclaré avoir sciemment boycotté celle-ci convaincu que les changements attendus ne sont pas rendez-vous, en s'appuyant sur une expérience de trois ans ( octobre 2016/ octobre 2018 ).
Se disant même profondément attristé par la mauvaise gestion de la ville, le conseiller ittihadi rejette l'entière responsabilité sur le parti majoritaire discrètement soutenu par l'Istiqlal.
Il regrette que, malgré le fait de contrôler le budget et les différentes commissions accompagnant sa gestion, la capitale spirituelle enregistre une dégradation socioéconomique sans précédent, qui se traduit par le chômage croissant parmi les jeunes, l'occupation de l'espace public par les «farrachas» et les marchands ambulants, le gel de projets touristiques, la méfiance des investisseurs, entre autres.
Pour preuve de cette crise, la mobilisation récente des acteurs de la société civile locale qui n'ont pas hésité à battre le pavé pour crier haut et fort leur mécontentement et dénoncer la situation chaotique caractérisant les secteurs économiques.
Le conseiller ittihadi, par son franc-parler, soulève souvent des questions qui fâchent. Ainsi il explique ne rien comprendre au mode opératoire de la commune pour recouvrer les impôts locaux (entre autres sur les terrains non bâtis) ou diverses taxes (commerciales et d'habitations).
On le voit, ce biologiste de profession, acteur associatif de premier plan, aurait aimé bénéficier de l'aura d'un maire et d'une majorité qui n’est là malheureusement que par la force des urnes. Démocratie oblige!