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Face aux difficultés que l'Union des écrivains marocains traverse, son président Abdelhamid Akkar a appelé à la tenue d'un congrès extraordinaire dans un délai n'excédant pas trois mois. Ce congrès dont l'ordre du jour sera uniquement consacré à l'élection d'un nouveau bureau exécutif et un nouveau président induira une légère modification des statuts de L'UEM.
Malgré la tenue du 17 ème congrès national de l'Union des Ecrivains marocains, son Bureau exécutif n'a cessé, en effet, d'être confronté à des problèmes. Des difficultés qui n'ont pas permis à l'Union de conforter sa présence sur l'échiquier culturel national. De même, elles ont empêché « qu'il y ait renouvellement des Bureaux sectoriels et la mise en œuvre du projet culturel et sa budgétisation en vue de son agrément par le Conseil administratif conformément au Statut de l'Union», précise Abdelhamid Akkar, président de l'Union des Ecrivains marocains dans un communiqué de presse.
La polémique et l'attitude hostiles à l'égard du président ont fait que le Bureau exécutif a perdu de son homogénéité et de ses capacités de mener une action commune et efficiente. Cela reflète une tendance à l'opportunisme dont le dessein est d'acculer à la démission du président et de quelques membres. « Et ce, indique le communiqué du président, à l'encontre de la volonté des écrivains participant au 17 ème Congrès, les quels ont élu les instances de l'Union selon un processus démocratique».